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Les Arts de la parole

Can. 2016. Drame de Olivier Godin avec Michael Yaroshevsky, Jennyfer Desbiens, Étienne Pilon. À la tête d'une brigade d'agents-poètes, un policier épie un brigand confiné dans son appartement et recherche une Bible annotée par le capitaine d'un navire mythique. Objet conceptuel désarçonnant, mêlant cinéma, danse, poésie et théâtre. Approche mixant expressionnisme et surréalisme. Interprétation délibérément atone. (sortie en salle: 28 mars 2017)

Général
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Les Arts de la parole (Les Arts de la parole)

Général Général

Can. 2016. Drame de Olivier Godin avec Michael Yaroshevsky, Jennyfer Desbiens, Étienne Pilon.

À la tête d'une brigade d'agents-poètes, un policier épie un brigand confiné dans son appartement et recherche une Bible annotée par le capitaine d'un navire mythique. Objet conceptuel désarçonnant, mêlant cinéma, danse, poésie et théâtre. Approche mixant expressionnisme et surréalisme. Interprétation délibérément atone. (sortie en salle: 28 mars 2017)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Photographie :
Musique :
Montage :
Pays :
Distributeur :
La Distributrice de films
Producteurs :
En plus de former une brigade d'agents-poètes et de surveiller un brigand confiné dans son appartement, un policier recherche une Bible annotée par le capitaine d'un navire mythique. Au cours de sa quête, il croise le chemin d'une mystérieuse jeune femme.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Musique, théâtre, danse, littérature. Olivier Godin fait du cinéma un art global dans cet objet conceptuel désarçonnant. Mixant expressionnisme et surréalisme, misant sur une interprétation atone, le réalisateur de NOUVELLES, NOUVELLES se joue des conventions dans un essai libre, où la forme l'emporte sur le contenu.

Texte : Helen Faradji

Revue de presse

Cinq fragments sur Les arts de la parole

On sent dans la forme un souci de "faire parler" le cinéma, de rapprocher son rythme du débit de l’élocution. Mais on pourrait aussi parler du jazz, penser le langage cinématographique propre au cinéma de Godin comme une décomposition de la mélodie dominante au profit de l’expression des nuances tonales. Chez lui, on s’éloigne vite du thème pour revenir à l’essentiel : l’inventivité.

Arts de la parole, Les Olivier Godin

Critique

Ne se prenant pas trop au sérieux, le cinéaste touche-à-tout instaure un climat de confiance en plongeant son histoire dans un climat bon enfant où l’humour est très présent, comme pour mieux transporter doucement son spectateur dans un monde bien à lui.

Arts de la parole, Les Olivier Godin

Les mots que nous sommes

par-delà l’audace formelle de son cinéma, Godin se moque bien des standards et affirme une nouvelle fois son statut de créateur fichtrement libre.

Arts de la parole, Les Olivier Godin

Vitrine cinéma

Avançant comme des somnambules dans ce monde fantaisiste, les personnages rappellent pour leur part le lyrisme de Raoul Ruiz et de Manoel de Oliveira. Là s’arrête toutefois la comparaison. De fait, avec son humour lourd, sa poésie déclamée d’un ton faux, son montage brutal, sa lumière défaillante et sa mise en scène rigide, LES ARTS DE LA PAROLE ressemble la plupart du temps à une piètre parodie de film expérimental ou d’un film étudiant.

Arts de la parole, Les Olivier Godin

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