It’s not a complete success, but MALEFICENT feels like a solid step on a new road to happily ever after, where princes are neither handsome nor charming, and female empowerment doesn’t depend on a wedding ring.

[Le] scénario [est] bancal, (...) incohérent (...) et semble être parti d'un flash (...) n'ayant pas été bien approfondi. Il reste l'enchantement visuel (parfois inquiétant). (...) La lumière d'Angelina Jolie.

Stromberg knows how to visualize a scene and exactly where to place the camera, but storytelling requires different muscles, and the film often lurches where it ought to flow, rarely latching onto the proper rhythm.

Cette chose en 3D (...) est l’adaptation du conte «La belle au bois dormant». Jolie interprète la ­sorcière. (...) Ce long-métrage ­richement doté (...) ne contribuera pas à ­améliorer la qualité de sa filmographie.

Avec sa bouche sanguine, ses oreilles d'elfe et ses pommettes (...) saillantes, [Angie] donne sa sensualité et sa dualité mystérieuse à [la] fée. (...) le film [est] porté par des effets spéciaux efficaces.

Les maquilleurs et prothésistes ont fait un excellent travail pour donner à Angelina une apparence très graphique. (...) Et son talent d'actrice parvient à insuffler à cette fabuleuse créature un naturel très humain. Le mélange est fascinant.

MALÉFIQUE, destiné à un public familial, multiplie les scènes à couper le souffle - créatures ailées, monstres de la forêt, transformations d'humains en animaux. Sans négliger, Angelina Jolie, étonnante de délicatesse...