Noémie Luciani - Le Monde
(...) s'il vise toute la subtilité (...) de la romance sans paroles, le film (...) a la maladresse de noyer ses silences sous les cascades mélodiques de (...) Yared et (....) une mise en scène écrasante, plus explicite et plus bavarde que les mots.
Pierre Vavasseur - Le Parisien
Élégant, délicat, (...) UNE PROMESSE (...) pose une vraie question: celle de la pertinence de certaines adaptations littéraires au cinéma. Ainsi de cette histoire, (...) séduisante sous la plume de Stefan Zweig, (...) trop en retenue [ici].
Guillemette Odicino - Télérama
(...) la belle est déjà mariée, la guerre sépare ceux qui s'aiment et le temps dure longtemps... surtout pour le spectateur! Adaptation engourdie d'une nouvelle de Stefan Zweig par un Patrice Leconte peu inspiré par les frémissements de la passion.
Corinne Renou-Nativel - La Croix
(...) là où Max Ophüls, dans LETTRE À UNE INCONNUE, présentait avec sobriété l’emprise du sentiment amoureux, Patrice Leconte la souligne de manière plus appuyée par la mise en scène, la musique et parfois le jeu des acteurs.
Marie-Elisabeth Rouchy - Le Nouvel Observateur
Leconte filme au plus près les tourments (...) de ses personnages, restitue le tumulte sous la retenue, (...) et réussit, sous une fausse apparence classique, à rendre une folle contemporanéité à un sentiment qu’on pouvait penser démodé.
Antoine Duplan - Le Temps
Sur une musique emphatique de Gabriel Yared, Patrice Leconte met platement en images ce texte d’un romantisme éprouvé, sans craindre les clichés les plus niais. (...) cette histoire allemande s'avère (...) d’une désolante insignifiance.
Jean-Pierre Lacomme - Le Journal du dimanche
Patrice Leconte s'est inspiré d'une nouvelle posthume de Stefan Zweig pour son premier film en anglais. Son adaptation très soignée dans la forme manque néanmoins de chair, en dépit des soupirs énamourés des deux protagonistes.