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Le Spa à remonter dans le temps (Hot Tub Time Machine)

É.-U. 2010. Comédie de Steve Pink avec John Cusack, Clark Duke, Rob Corddry. À la suite d'une beuverie dans un bain tourbillon, quatre amis insatisfaits de leur existence sont magiquement transportés en 1986. Intrigue nostalgique repoussant les limites du bon goût. Réalisation manquant d'originalité. Trame musicale accrocheuse. Interprétation enjouée. (sortie en salle: 26 mars 2010)

13 ans + (langage vulgaire)
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Le Spa à remonter dans le temps (Hot Tub Time Machine)

13 ans + (langage vulgaire) 13 ans + (langage vulgaire)

É.-U. 2010. Comédie de Steve Pink avec John Cusack, Clark Duke, Rob Corddry.

À la suite d'une beuverie dans un bain tourbillon, quatre amis insatisfaits de leur existence sont magiquement transportés en 1986. Intrigue nostalgique repoussant les limites du bon goût. Réalisation manquant d'originalité. Trame musicale accrocheuse. Interprétation enjouée. (sortie en salle: 26 mars 2010)

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Lou, un amateur de soirées bien arrosées, se retrouve à l'hôpital à la suite d'un accident qui s'apparente à une tentative de suicide. Pour l'aider à reprendre pied, ses amis Adam, récemment divorcé, et Nick, marié à une femme contrôlante, lui proposent d'aller passer un week-end à la station de ski où ils ont fait jadis les quatre cents coups. Jacob, le neveu d'Adam toujours rivé à son ordinateur, les accompagne dans ce lieu aujourd'hui délabré et déserté. Après une nuit de beuverie dans un bain tourbillon, les quatre compères s'aperçoivent qu'ils ont été projetés dans le passé, en 1986. Et que pour revenir au présent, ils doivent se soumettre à une série d'épreuves qui mettront leurs convictions, ainsi que leur amitié, à rude épreuve.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cet éloge de la camaraderie masculine, teinté d'une nostalgie dégoulinante pour la culture populaire des années 1980, semble avant tout destiné à repousser les limites du bon goût. Mission accomplie. L'étalage de situations grotesques impliquant jurons et fluides corporels en tous genres, qui forment l'essentiel du scénario, est ici ponctué par une foule de succès musicaux de l'époque, choisis davantage pour leur increvable popularité que pour leur résonance dans l'histoire. Tout cela nous est servi sans grande originalité, quoique l'énergie contagieuse de tous les interprètes - à commencer par John Cusack, agissant aussi à titre de producteur - donne son élan à ce croisement entre BACK TO THE FUTURE et THE HANGOVER, destiné à plaire à ceux qui avaient vingt ans... il y a vingt-cinq ans.

Texte : André Lavoie

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