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La Course vers la montagne ensorcelée (Race to Witch Mountain)

É.-U. 2009. Drame fantastique de Andy Fickman avec Dwayne Johnson, AnnaSophia Robb, Alexander Ludwig. Un chauffeur de taxi de Las Vegas vient en aide à deux adolescents extraterrestres venus sauver notre planète de la destruction. Remake actualisé et tapageur d'une comédie fantaisiste des studios Disney datant de 1975. Réalisation fonctionnelle. Effets visuels d'une efficacité inégale. Interprètes au jeu convenable. (sortie en salle: 13 mars 2009)

Général
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La Course vers la montagne ensorcelée (Race to Witch Mountain)

Général Général

É.-U. 2009. Drame fantastique de Andy Fickman avec Dwayne Johnson, AnnaSophia Robb, Alexander Ludwig.

Un chauffeur de taxi de Las Vegas vient en aide à deux adolescents extraterrestres venus sauver notre planète de la destruction. Remake actualisé et tapageur d'une comédie fantaisiste des studios Disney datant de 1975. Réalisation fonctionnelle. Effets visuels d'une efficacité inégale. Interprètes au jeu convenable. (sortie en salle: 13 mars 2009)

Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Matt Lopez
Mark Bomback
D'après le roman de Alexander Key
Photographie :
Musique :
Montage :
Jack Bruno, un chauffeur de taxi de Las Vegas au lourd passé judiciaire, prend à son bord Sara et Seth, deux adolescents au comportement étrange. Et pour cause: ils affirment venir d'une autre planète pour sauver la Terre de la destruction. Mais tandis que Jack est poursuivi par les membres d'une ancienne bande criminelle, ses passagers aux pouvoirs surnaturels sidérants sont pris en chasse par le gouvernement et un puissant tueur issu de leur planète, chargé de faire échouer leur mission. Grâce au secours d'une scientifique, Seth et Sara apprennent que leur soucoupe volante a été transportée à Witch Mountain, un lieu tenu secret situé dans le désert du Nevada. Jack doit impérativement les y conduire.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les studios Disney réactualisent ici le roman d'Alexander Key, qui avait déjà fait l'objet d'une adaptation chez eux en 1975. La relecture, très tapageuse, a pour toile de fond le Las Vegas clinquant. Pour grave qu'elle peut sembler au départ, la menace apocalyptique qui motive le scénario est escamotée par le traitement grand-guignolesque, ainsi que par le jeu limité du peu charismatique Dwayne «The Rock» Johnson. Les deux jeunes acteurs avec qui cet ex-lutteur partage la vedette se tirent mieux d'affaire, tout comme Ciaran Hinds, toujours impeccable en méchant de service. Les interprètes n'arrivent toutefois pas à cacher le soin relatif accordé aux effets spéciaux, lacune témoignant (parmi d'autres) du manque d'ambition artistique de cette production routinière.

Texte : André Lavoie

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