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Underdog

É.-U. 2007. Comédie fantaisiste de Frederik Du Chau avec Jason Lee, Alex Neuberger, Peter Dinklage. Un adolescent adopte un beagle en fuite qui s'avère doté de pouvoirs surnaturels lui permettant de devenir un superhéros à quatre pattes. Sujet inspiré d'une série télévisée animée des années 1960. Péripéties hautement prévisibles mais mouvementées à souhait. Humour bon enfant. Réalisation anonyme mais efficace pour le genre. Interprétation routinière. (sortie en salle: 3 août 2007)

Général
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Underdog (Underdog)

Général Général

É.-U. 2007. Comédie fantaisiste de Frederik Du Chau avec Jason Lee, Alex Neuberger, Peter Dinklage.

Un adolescent adopte un beagle en fuite qui s'avère doté de pouvoirs surnaturels lui permettant de devenir un superhéros à quatre pattes. Sujet inspiré d'une série télévisée animée des années 1960. Péripéties hautement prévisibles mais mouvementées à souhait. Humour bon enfant. Réalisation anonyme mais efficace pour le genre. Interprétation routinière. (sortie en salle: 3 août 2007)

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Réalisation :
Un malencontreux incident survenu dans le laboratoire dirigé par le vilain Simon Barsinister dote le chien Shoeshine de pouvoirs surnaturels. À commencer par celui de la parole, un secret que le beagle en cavale partage avec l'adolescent qui l'a recueilli, et avec qui il forme le projet de devenir le protecteur de Capitol City. Mais l'infâme Barsinister n'a pas dit son dernier mot et met tout en oeuvre pour s'emparer de ce justicier à quattre pattes afin de percer le mystère de ses surprenants pouvoirs.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Constamment à la recherche de sujets plus ou moins inédits pour leurs productions destinées au public familial, les studios Disney recyclent ici le thème d'une série télévisée animée des années 1960. L'animation très rudimentaire de l'original cède la place à un tournage en prises de vues réelles rehaussées de nombreux effets spéciaux. L'intrigue repose sur une cascade de péripéties hautement prévisibles, mais mouvementées à souhait. Tout cela est agrémenté d'un humour bon enfant, pour ne pas dire carrément infantile, qui exploite à plein régime l'anthropomorphisme de ce justicier canin qui se prend pour Superman. La réalisation s'avère parfaitement anonyme, mais elle demeure efficace pour le genre. Les interprètes humains se contentent de livrer des prestations routinières.

Texte : Martin Girard

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