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La Maison monstre (Monster House)

É.-U. 2006. Film d'animation de Gil Kenan . Trois enfants tentent de percer le secret entourant la maison d'un voisin dotée de pouvoirs maléfiques. Conte fantaisiste aux accents de film d'horreur. Scénario parfois capricieux. Animation très dynamique, bénéficiant des techniques de pointe. Dialogues amusants, souvent à double sens. Personnages bien composés.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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La Maison monstre (Monster House)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 2006. Film d'animation de Gil Kenan .

Trois enfants tentent de percer le secret entourant la maison d'un voisin dotée de pouvoirs maléfiques. Conte fantaisiste aux accents de film d'horreur. Scénario parfois capricieux. Animation très dynamique, bénéficiant des techniques de pointe. Dialogues amusants, souvent à double sens. Personnages bien composés.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
La veille de l'Halloween, le jeune DJ observe avec son télescope le domaine du vieux bougon Nebbercracker, qui terrorise tous les enfants qui osent s'approcher de sa propriété. Plus étrange encore, la pelouse semble avaler tout ce qui se pose dessus et la maison elle-même paraît dotée de pouvoirs maléfiques. Ses parents s'étant absentés, DJ saisit l'occasion d'aller s'aventurer avec son copain Chowder près de la demeure maudite. Or, en voulant les repousser, Nebbercracker est pris d'un malaise et transporté en ambulance. Laissés à eux-mêmes, les garçons et la petite Jenny, dont ils sont tous deux vaguement amoureux, pénètrent courageusement dans la lugubre résidence dans l'espoir d'en percer le secret.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Sous l'égide de Robert Zemeckis et Steven Spielberg à la production, le réalisateur Gil Kenan entre à Hollywood par la grande porte. En dépit des techniques de pointe déployées, l'animation, très dynamique, ne se veut pas hyperréaliste (comme dans POLAR EXPRESS). Le cinéaste et son équipe d'animateurs ont plutôt privilégié des personnages aux traits moins anamorphiques, comme ceux de TOY STORY. Qu'à cela ne tienne, ceux-ci sont très bien dessinés, composés et mis en voix par des acteurs connus et moins connus, qui prennent grand plaisir à l'exercice. Cela dit, ce conte fantaisiste aux accents de film d'horreur repose sur un scénario un peu capricieux, qui emprunte parfois au jeu vidéo, notamment dans la séquence d'ouverture et dans celle où les héros investissent la gothique demeure. Le jeune public passera par toute la gamme des émotions, tandis que le public adulte, qui n'est pas en reste, appréciera la drôlerie des nombreux dialogues à double sens.

Texte : Jean Beaulieu

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