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Chez Big Momma 2 (Big Momma's House 2)

É.-U. 2006. Comédie policière de John Whitesell avec Martin Lawrence, Nia Long, Emily Procter. Un agent du FBI se déguise en vieille dame corpulente afin d'être engagé comme gouvernante dans la demeure d'un suspect. Film de série manquant de finesse et d'originalité. Clichés à la pelle. Réalisation routinière. Interprétation colorée de M. Lawrence.

Général
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Chez Big Momma 2 (Big Momma's House 2)

Général Général

É.-U. 2006. Comédie policière de John Whitesell avec Martin Lawrence, Nia Long, Emily Procter.

Un agent du FBI se déguise en vieille dame corpulente afin d'être engagé comme gouvernante dans la demeure d'un suspect. Film de série manquant de finesse et d'originalité. Clichés à la pelle. Réalisation routinière. Interprétation colorée de M. Lawrence.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
20th Century Fox
Bien que son épouse Sherrie soit sur le point d'accoucher, l'agent du FBI Malcolm Turner accepte une nouvelle mission: infiltrer la famille du programmeur Tom Fuller, soupçonné d'avoir mis au point un ver informatique capable de pénétrer dans les fichiers des services secrets américains. Pour ce faire, le policier reprend un déguisement qui lui a jadis porté chance, celui de Big Momma, l'obèse grand-mère de Sherrie. C'est dans cet accoutrement que l'agent se présente à Leah Fuller, l'épouse de Tom, et parvient à décrocher le poste de gouvernante des trois enfants du couple, Carrie, Molly et Andrew. Or, durant son enquête, Malcolm/Big Momma s'attache aux rejetons du présumé criminel, ce qui complique singulièrement sa tâche.

L’AVIS DE MEDIAFILM

À mi-chemin entre MRS. DOUBTFIRE et THE PACIFIER, cette comédie exploite sans la moindre finesse de nombreuses formules usées. À commencer par celle qui consiste à mêler enquête policière et humour domestique. Et que dire de ce cliché éculé voulant qu'un policier se travestisse afin de mener une enquête. Le scénariste Don Rhymer tire sur toutes les ficelles d'usage, y compris celle de la sentimentalité facile, notamment lorsque le protagoniste se met à prendre au sérieux son rôle de «nanny». Par contre, il se montre incapable de donner ne serait-ce qu'un vernis de vraisemblance à ces péripéties prévisibles et laborieuses. En fait, toutes les situations sont tirées par les cheveux, en particulier celles décrivant le travail des policiers. La mise en scène de John Whitesell (MALIBU'S MOST WANTED) est à l'avenant, c'est-à-dire routinière et dépourvue d'originalité. Reste la performance assez colorée de Martin Lawrence.

Texte : Martin Girard

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