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Le Soleil de Siam (Siam Sunset)

Aust. 2000. Comédie de John Polson avec Linus Roache, Danielle Cormack, Ian Bliss. Inconsolable depuis la mort de sa femme et convaincu d'être la cible d'une conspiration cosmique, un Anglais s'embarque pour un voyage organisé en Australie. Éléments classiques du road movie. Heureux mélange d'insolite et d'absurde. Interprétation charmante et efficace.

13 ans +
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Le Soleil de Siam (Siam Sunset)

13 ans + 13 ans +

Aust. 2000. Comédie de John Polson avec Linus Roache, Danielle Cormack, Ian Bliss.

Inconsolable depuis la mort de sa femme et convaincu d'être la cible d'une conspiration cosmique, un Anglais s'embarque pour un voyage organisé en Australie. Éléments classiques du road movie. Heureux mélange d'insolite et d'absurde. Interprétation charmante et efficace.

Genre :
Année :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Les Films Séville
Perry travaille comme créateur de couleurs pour une compagnie de peinture britannique. Lorsqu'il perd sa femme adorée dans des circonstances insolites et que les infortunes s'abattent sur lui, il se croit destiné à la catastrophe perpétuelle. De guerre lasse, le jeune homme s'embarque pour un voyage organisé en Australie. Son espoir secret est de débusquer dans les paysages de ce pays la couleur Siam Sunset, à laquelle il rêve mais dont il n'arrive pas à concevoir la formule. Au cours du voyage, Perry s'éprend de Grace, une femme qui semble aussi peu douée que lui pour le bonheur.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce premier long métrage du réalisateur australien John Polson comporte tous les éléments classiques du road movie: récit chronologique, quête initiatique du protagoniste, son évolution morale ou psychologique correspondant symboliquement avec les étapes de son parcours. Bref, SIAM SUNSET ne réinvente pas le genre. Les paysages écrasants de chaleur, la lumière éblouissante, les lieux minables ou désolés évoquent bien d'autres films, et pas seulement des road movies, car on songe souvent à BAGDAD CAFÉ. Cependant, c'est par son ton que le film de Polson se distingue. Il est en effet constamment émaillé de touches d?absurdité pure et de loufoquerie désarmante, qui n?effacent en rien la douleur du personnage central. Il y a du reste un décalage constant, et extrêmement réussi, entre l'insolite du récit et la dimension dramatique de son héros, convaincu d'être au centre d'une immense tragédie. L'interprétation charmante de Linus Roache et Danielle Cormack est parfaitement soutenue par l'ensemble des rôles secondaires.

Texte : Anne-Marie Cloutier

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