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Fréquences (Frequency)

É.-U. 2000. Science-fiction de Gregory Hoblit avec Dennis Quaid, Jim Caviezel, Elizabeth Mitchell. Lors d'une tempête solaire, un policier dépressif parvient à communiquer par radio avec son père décédé en 1969 et découvre qu'il peut modifier le passé. Récit astucieux et bien construit. Sentimentalisme trop insistant dans les relations père-fils. Réalisation solide. Interprétation sentie.

13 ans +
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Fréquences (Frequency)

13 ans + 13 ans +

É.-U. 2000. Science-fiction de Gregory Hoblit avec Dennis Quaid, Jim Caviezel, Elizabeth Mitchell.

Lors d'une tempête solaire, un policier dépressif parvient à communiquer par radio avec son père décédé en 1969 et découvre qu'il peut modifier le passé. Récit astucieux et bien construit. Sentimentalisme trop insistant dans les relations père-fils. Réalisation solide. Interprétation sentie.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
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Montage :
Lors d'une tempête solaire, le policier dépressif John Sullivan capte sur une radio à ondes courtes un message de son père Frank, un pompier décédé en 1969 dans l'incendie d'un entrepôt. Grâce à ce contact inespéré, John peut éviter à ce père qui lui a tant manqué de périr dans le brasier. Mais du coup, tout le passé est modifié. Ainsi, un tueur en série qui devait mourir est plutôt sauvé par l'épouse de Frank, l'infirmière Julia, qui deviendra une de ses victimes. À trente ans d'intervalle, le père et le fils s'emploient alors à neutraliser le meurtrier avant qu'il ne s'en prenne à Julia.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Maintes fois exploité au cinéma, le thème des voyages temporels offre des possibilités infinies aux scénaristes, et celui de FREQUENCY a su apporter quelques variations qui ne manquent pas d'intérêt. D'abord, il n'est pas question ici de voyage dans le temps, car les deux protagonistes ne quittent jamais leur époque respective. Il s'agit donc plutôt d'univers parallèles. De plus, le récit possède une cohérence interne indéniable, prenant astucieusement en compte toutes les conséquences des changements du passé sur le présent. En fait, le film illustre le rêve de chacun de revenir en arrière pour changer son destin, ici dans le cadre d'une relation père-fils assez touchante. Toutefois, le sentimentalisme insistant du traitement de cette relation peut devenir agaçant, à l'instar de cette propension à glorifier les valeurs familiales américaines traditionnelles. Par ailleurs, la mise en scène s'avère solide et négocie habilement les changements de genre inhérents à l'intrigue. De l'action pure des spectaculaires scènes d'incendie, on passe à un climat fantastique illustré par des ciels nimbés d'aurores boréales d'une sereine beauté, pour bifurquer vers un thriller policier plus conventionnel, mais mené avec vigueur. D'un bout à l'autre du film, l'interprétation demeure sentie.

Texte : Louis-Paul Rioux

COMMENTAIRES

15 février 2017, 15:55:38

Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières

Un film divertissant sur des mondes parallèles. La fin guimauve et trop américaine gâche un peu la sauce.

J'attribue à ce film la Cote 3


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