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Blade

É.-U. 1998. Drame fantastique de Stephen Norrington avec Wesley Snipes, Stephen Dorff, N'bushe Wright. Un guerrier mi-humain mi-vampire combat un vampire cruel qui veut provoquer une véritable apocalypse. Feu roulant d'action et d'affrontements vigoureux. Réalisation dynamique. Effets spéciaux variés. Interprétation appropriée.

13 ans + (violence, horreur)
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Blade (Blade)

13 ans + (violence, horreur) 13 ans + (violence, horreur)

É.-U. 1998. Drame fantastique de Stephen Norrington avec Wesley Snipes, Stephen Dorff, N'bushe Wright.

Un guerrier mi-humain mi-vampire combat un vampire cruel qui veut provoquer une véritable apocalypse. Feu roulant d'action et d'affrontements vigoureux. Réalisation dynamique. Effets spéciaux variés. Interprétation appropriée.

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Mi-humain, mi-vampire, Blade est un puissant guerrier voué à l'anéantissement des vampires qui prennent insidieusement le contrôle des activités humaines. Un jour, il sauve Karen Jenson, une hématologue qui devient sa partenaire. Utilisant les armes redoutables conçues par Abraham Whistler, un chasseur de vampires qui a recueilli Blade adolescent, les deux comparses affrontent le cruel Deacon Frost, qui projette de s'approprier la puissance du Dieu du sang pour provoquer une véritable apocalypse.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Pour porter à l'écran les exploits d'un des premiers héros afro-américains de bandes dessinées, les concepteurs n'y sont pas allés de main morte. Suivant un scénario assez bien construit, nonobstant les quelques invraisemblances d'usage, le film constitue un feu roulant d'action musclée, de combats vigoureux d'arts martiaux ou à l'épée, supporté par des effets spéciaux et visuels variés et parfois étonnants. On constate cependant un certain relâchement dans la toute dernière scène (annonciatrice d'une suite des aventures du héros) dans laquelle on voit en plan d'ensemble un Moscou qui fait son poids de maquette. Pourtant, le reste du film se déroule dans des décors autrement plus élaborés et souvent extravagants. Par ailleurs, la mise en scène possède le dynamisme voulu, tandis que le montage s'avère nerveux et l'accompagnement sonore techno aussi frénétique que branché. Wesley Snipes est un Blade idéal, N'bushe Wright fait montre de caractère et Stephen Dorff joue les révoltés cyniques avec une délectation palpable.

Texte : Louis-Paul Rioux

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