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BASEketball

É.-U. 1998. Comédie de David Zucker avec Trey Parker, Matt Stone, Yasmine Bleeth. Deux zigotos obtiennent un succès inattendu lorsqu'ils inventent un nouveau sport combinant de manière absurde les règles du baseball et du basketball. Pastiche irrévérencieux des drames sportifs. Gags nombreux mais de qualité inégale. Réalisation ne manquant pas d'entrain. Jeu loufoque des comédiens.

13 ans +
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BASEketball (BASEketball)

13 ans + 13 ans +

É.-U. 1998. Comédie de David Zucker avec Trey Parker, Matt Stone, Yasmine Bleeth.

Deux zigotos obtiennent un succès inattendu lorsqu'ils inventent un nouveau sport combinant de manière absurde les règles du baseball et du basketball. Pastiche irrévérencieux des drames sportifs. Gags nombreux mais de qualité inégale. Réalisation ne manquant pas d'entrain. Jeu loufoque des comédiens.

Genre :
Année :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Universal
Amis inséparables depuis leur enfance, Joe Cooper et Doug Remer sont deux paumés qui ne font rien de leur vie. Les deux jeunes désoeuvrés ont tellement de temps à perdre qu'ils créent un nouveau sport combinant de manière absurde les règles du baseball et du basketball. Aussi incroyable que cela puisse paraître, le succès est immédiat et les deux zigotos deviennent instantanément célèbres. Encore faut-il qu'ils puissent assumer leur nouveau statut de star et s'occuper de leur équipe, les Milwalkie Beers, sans en perdre le contrôle.

L’AVIS DE MEDIAFILM

De concert avec son frère Jerry, David Zucker a pratiquement inventé un nouveau genre de comédie débridée au début des années 80 avec Airplane, qui se moquait savoureusement des films catastrophes. Dignes disciples de Mel Brooks, les deux frères Zucker ont récidivé avec la série Naked Gun, avant d'entreprendre des carrières solos. David Zucker persiste dans la veine parodique de ses débuts en offrant avec BASEketball un pastiche irrévérencieux des drames sportifs. Le cinéaste et ses scénaristes en profitent pour tirer à boulets rouges sur les professionnels du sport, se moquant par exemple du mercantilisme qui sévit de plus en plus dans ce milieu. Comme toujours dans les films de ce cinéaste, les gags s'avèrent nombreux mais de qualité inégale. Le mauvais goût est à l'honneur plus souvent qu'autrement, ce qui signifie que le film en fera rire plusieurs, tandis que d'autres risquent de ne pas y trouver leur compte. La réalisation ne manque pas d'entrain et les comédiens jouent avec le degré voulu de loufoquerie.

Texte : Martin Girard

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