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Le Loup-garou de Paris (An American Werewolf in Paris)

G.-B. 1997. Drame d'horreur de Anthony Waller avec Tom Everett Scott, Julie Delpy, Vince Vieluf. En vacances à Paris avec des copains, un adolescent américain est mordu par un loup-garou. Mélange bancal d'horreur et d'humour noir. Réalisation peu originale mais experte sur le plan technique. Rythme soutenu. Interprétation peu nuancée.

13 ans + (violence, horreur)
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Le Loup-garou de Paris (An American Werewolf in Paris)

13 ans + (violence, horreur) 13 ans + (violence, horreur)

G.-B. 1997. Drame d'horreur de Anthony Waller avec Tom Everett Scott, Julie Delpy, Vince Vieluf.

En vacances à Paris avec des copains, un adolescent américain est mordu par un loup-garou. Mélange bancal d'horreur et d'humour noir. Réalisation peu originale mais experte sur le plan technique. Rythme soutenu. Interprétation peu nuancée.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Photographie :
Musique :
Montage :
Alors qu'il s'apprête à sauter en «bungee» du haut de la tour Eiffel, le jeune Américain Andy voit une jeune fille désespérée se jeter dans le vide. Le garçon la rattrape en plein vol et lui sauve ainsi la vie. Andy revoit la belle inconnue dans les jours qui suivent et découvre alors qu'elle est un loup-garou appartenant à une secte dirigée par le diabolique Claude. Transformé à son tour en lycanthrope, Andy ne pourra retrouver son humanité qu'en dévorant le coeur du monstre qui l'a mordu.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Avec son mélange peu raffiné mais efficace d'horreur, d'humour très noir et de musique rock, AN AMERICAN WEREWOLF IN LONDON, réalisé en 1981 par John Landis, est devenu une sorte de film-culte. Il faut dire qu'à l'époque, les effets de maquillages spéciaux avaient fait sensation auprès des amateurs du genre. Seize ans plus tard, on nous propose une suite tardive qui réchauffe les mêmes ingrédients avec, cette fois, des effets spéciaux digitaux. Le réalisateur de MUTE WITNESS prend les commandes avec une évidente expertise technique, mais bien peu d'originalité. Le film se déroule à un rythme soutenu, mais le mariage entre horreur et comédie s'avère pour le moins bancal. Les scènes d'épouvante sont souvent plus ridicules que terrifiantes, tandis que les scènes de comédie s'avèrent généralement infantiles. Les interprètes jouent avec plus de vigueur que de nuances.

Texte : Martin Girard

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