Nuits mortelles (The Trigger Effect)

Name: Nuits mortelles
Director: David Koepp
Genre: Drame social
Duration: 95 min.

É.-U. 1996. Drame social de David Koepp avec Kyle MacLachlan, Elisabeth Shue, Dermot Mulroney. Un jeune couple et un copain vivent des moments angoissants alors qu'une partie du pays est paralysée par une panne d'électricité et de téléphone. Description plutôt convenue d'une situation de crise sociale. Quelques développements intrigants. Réalisation et interprétation honnêtes.

Nuits mortelles (The Trigger Effect)

13 ans +

É.-U. 1996. Drame social de David Koepp avec Kyle MacLachlan, Elisabeth Shue, Dermot Mulroney.

Un jeune couple et un copain vivent des moments angoissants alors qu'une partie du pays est paralysée par une panne d'électricité et de téléphone. Description plutôt convenue d'une situation de crise sociale. Quelques développements intrigants. Réalisation et interprétation honnêtes.

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Genre :

Drame social

Année :

1996

Durée :

95 min.

Réalisation :

David Koepp

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Cineplex-Odeon

Interprètes :

Kyle MacLachlan
Elisabeth Shue
Dermot Mulroney

Une partie des États-Unis est paralysée par une panne d'électricité et de téléphone. Matt et Annie doivent affronter cette crise au moment même où leur fillette tombe malade. Leur ami Joe leur rend visite et décide de passer la nuit avec eux après s'être procuré une arme. Un incident qui provoque la mort d'un cambrioleur n'est que le début du cauchemar que vivront le couple et leur ami.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Surtout connu pour les scénarios qu'il a signés pour Steven Spielberg (JURASSIC PARK) et Brian De Palma (CARLITO'S WAY, MISSION: IMPOSSIBLE), David Koepp livre ici un premier long métrage où il demeure fidèle à son goût pour le suspense. Son récit évoque certains scénarios de films des années 1970 où perçait une paranoïa sociale due à la crise du pétrole et à des rapports alarmants sur la pollution. En ce sens, THE TRIGGER EFFECT se range nettement dans la vague actuelle de nouveau cinéma-catastrophe. Les données dramatiques du récit ne démontrent pas beaucoup d'évolution par rapport aux films du même genre d'il y a vingt ans. À une structure narrative plutôt convenue et prévisible, Koepp a cependant ajouté quelques éléments ambiguës sur les personnages, rendant certains développements assez intrigants. La réalisation n'est pas très inventive mais elle demeure honnête, tout comme le jeu des interprètes.

Texte : Martin Girard

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