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L'École, c'est secondaire (High School High)

É.-U. 1996. Comédie satirique de Hart Bochner avec Jon Lovitz, Tia Carrere, Louise Fletcher. Habitué à l'enseignement privé, un professeur débarque dans une école publique fréquentée par toutes sortes de délinquants. Recettes éprouvées de dialogues outrés et de situations abracadabrantes. Humour débridé. Réalisation désinvolte. Cabotinage des interprètes.

Général
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L'École, c'est secondaire (High School High)

Général Général

É.-U. 1996. Comédie satirique de Hart Bochner avec Jon Lovitz, Tia Carrere, Louise Fletcher.

Habitué à l'enseignement privé, un professeur débarque dans une école publique fréquentée par toutes sortes de délinquants. Recettes éprouvées de dialogues outrés et de situations abracadabrantes. Humour débridé. Réalisation désinvolte. Cabotinage des interprètes.

Année :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Columbia
Richard Clark est un instituteur idéaliste qui décide un jour de quitter son poste d'enseignant dans l'institution privée de son père afin d'aller pratiquer son métier dans une école publique où règne la délinquance. Située dans un quartier pauvre et violent, l'école Wellington est tellement dangereuse qu'elle possède son propre cimetière. Le naïf et accommodant Richard se heurte bien vite à la dure réalité des lieux. Mais tenace et bourré de bonnes intentions, il persiste à tenter de se gagner le respect et la confiance des élèves.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Avec un certain David Zucker (AIRPLANE, THE NAKED GUN,...) au générique, on pouvait s'attendre à un produit utilisant des recettes dûment éprouvées. Poursuivant dans la veine de à "Mad magazine" dont l'esprit satirique a déjà inspiré quantité de comédies destinées aux adolescents, les auteurs se sont attaqués cette fois à un sujet dont l'actualité s'avère des plus brûlantes. Malheureusement, loin d'en profiter pour dénoncer les travers actuels du système scolaire, l'ensemble se présente seulement comme une succession de gags misant sur des dialogues outrés et des situations abracadabrantes sans réelle portée sociale. L'humour débridé cède souvent à la facilité et pèche par manque de subtilité. Cependant, le film totalise un nombre suffisant de gags pour que de nombreux spectateurs en tirent profit pour s'amuser. La réalisation possède un certain rythme, même si la désinvolture semble de mise. Quant à l'interprétation, elle verse constamment dans le cabotinage.

Texte : Christian Depoorter

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