Go to main content
4

Ghost in the Shell (Kokaku Kidotai)

Jap. 1995. Film d'animation de Mamoru Oshii . Dans une ville futuriste, une policière mi-humaine, mi-robot poursuit un mystérieux individu qui se sert de l'inforoute à des fins criminelles. Intrigue plutôt convenue inspirée d'une manga. Vision fascinante d'une architecture urbaine hétéroclite. Illustration de grande qualité.

13 ans + (violence)
4

Ghost in the Shell (Kokaku Kidotai)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

Jap. 1995. Film d'animation de Mamoru Oshii .

Dans une ville futuriste, une policière mi-humaine, mi-robot poursuit un mystérieux individu qui se sert de l'inforoute à des fins criminelles. Intrigue plutôt convenue inspirée d'une manga. Vision fascinante d'une architecture urbaine hétéroclite. Illustration de grande qualité.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Del Fuego
En l'an 2029, dans une mégapole asiatique, la policière Kusanagi a eu recours à la cybernétique pour améliorer ses capacités physiques et sensorielles. Elle reçoit la mission de capturer un mystérieux personnage qui se sert de l'inforoute à des fins criminelles. Kusanagi découvre que cet individu, surnommé le «marionnettiste», est en réalité un virus informatique qui a échappé au contrôle de ses créateurs, des savants du gouvernement. La policière et son partenaire parviennent à traquer le criminel virtuel qui entend conclure un marché avec Kusanagi.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Inspiré d'une manga, comme tant d'autres films d'animation pour adultes japonais, GHOST IN THE SHELL a profité d'un budget nettement supérieur à la moyenne. L'intrigue bat en rappel tous les lieux communs du genre, particulièrement en ce qui a trait à la robotique, l'intelligence artificielle et l'autoroute informatique. À mi-chemin entre un James Bond futuriste et BLADE RUNNER, GHOST IN THE SHELL possède un petit climat existentiel mélancolique parfois proche du classique de Ridley Scott. Autre point en commun: la fascination pour une architecture urbaine hétéroclite, dense, où des immeubles futuristes côtoient des constructions décrépites. Il y a même un passage lyrique dans ce dessin animé où l'intrigue s'arrête pour permettre au spectateur de contempler divers aspects de la ville. Il faut dire que, dans l'ensemble, le dessin est superbe et la qualité technique de l'animation s'avère assez remarquable.

Texte : Martin Girard

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3