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Drunks

É.-U. 1995. Drame psychologique de Peter Cohn avec Richard Lewis, Faye Dunaway, Dianne Wiest. Des gens de différents milieux partagent leurs problèmes dans le cadre d'une rencontre des Alcooliques Anonymes. Adaptation conventionnelle d'une pièce de théâtre. Problème de la dépendance assez bien rendu. Réalisation banale. Numéros d'acteurs de valeur inégale.

13 ans +
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Drunks (Drunks)

13 ans + 13 ans +

É.-U. 1995. Drame psychologique de Peter Cohn avec Richard Lewis, Faye Dunaway, Dianne Wiest.

Des gens de différents milieux partagent leurs problèmes dans le cadre d'une rencontre des Alcooliques Anonymes. Adaptation conventionnelle d'une pièce de théâtre. Problème de la dépendance assez bien rendu. Réalisation banale. Numéros d'acteurs de valeur inégale.

Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Gary Lennon
D'après la piéce de Gary Lennon
Photographie :
Musique :
Montage :
Dans un sous-sol d'église à New York, a lieu une rencontre des Alcooliques Anonymes, où chacun raconte ses problèmes. Certains ont laissé la bouteille depuis longtemps et d'autres plus récemment. Jim vit difficilement la mort de sa femme. Shelley appréhende la visite prochaine de sa mère dominatrice. Puis il y a Rachel, un docteur qui était accrochée à l'alcool et aux médicaments. D'autres ont des problèmes plus urgents, comme Brenda qui est séropositive ou Becky qui craint de perdre la garde de son fils.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Comme c'est souvent le cas avec la transposition au cinéma de pièces de théâtre, DRUNKS assume mal son origine. Si, par son impact, l'enfilade de soliloques devait donner un impressionnant spectacle sur scène, celle-ci ne devient au grand écran qu'un enchaînement de témoignages voués à des numéros d'acteurs, par ailleurs de valeur inégale. Gary Lennon a bien tenté d'insuffler un dynamisme à son récit, en suivant parallèlement le huis clos de la rencontre et les pérégrinations à l'extérieur d'un des personnages, qui se dirige vers une rechute. Au-delà de la banalité d'une telle approche, on découvre également une tension psychologique aussi artificielle que prévisible. Par moments, notamment durant les interventions de Spalding Gray et de Dianne Wiest, le film donne l'apparence d'un essai sur le jeu d'acteur et les gros plans au cinéma. Dans ces quelques passages, DRUNKS traduit cependant assez bien les ramifications socio-psychologiques de la dépendance.

Texte : Alain Dubeau

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