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Utz

G.-B. 1992. Drame de George Sluizer avec Armin Mueller-Stahl, Brenda Fricker, Peter Riegert. A la mort d'un important collectionneur tchèque, le propriétaire d'une galerie d'art new-yorkaise cherche à récupérer de précieuses figurines de porcelaine. Adaptation d'un roman de Bruce Chatwin. Fréquents flashbacks parfois confus. Mise en scène attentive. Photographie riche en détails. Gracieuse composition d'A. Mueller-Stahl.

Général
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Utz (Utz)

Général Général

G.-B. 1992. Drame de George Sluizer avec Armin Mueller-Stahl, Brenda Fricker, Peter Riegert.

A la mort d'un important collectionneur tchèque, le propriétaire d'une galerie d'art new-yorkaise cherche à récupérer de précieuses figurines de porcelaine. Adaptation d'un roman de Bruce Chatwin. Fréquents flashbacks parfois confus. Mise en scène attentive. Photographie riche en détails. Gracieuse composition d'A. Mueller-Stahl.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Astral
Récompenses
Le baron Kaspar von Utz, qui habite Prague, collectionne les figurines de porcelaine. Au cours d'une vente aux enchères, il fait la connaissance de Marius Fisher, propriétaire d'une galerie d'art new-yorkaise. Ce dernier, attiré par cette collection unique, se lie d'amitié avec le vieil homme. Le baron l'Invite à Prague pour lui montrer ses figurines et lui présenter son seul ami, le docteur Vaclav Orlik qui, lui, collectionne les mouches. Plus tard, Fisher apprend la mort de von Utz et s'empresse de contacter Orlik afin de récupérer la précieuse collection, qui a entre-temps disparu sans laisser de trace. Fisher doit retrouver Maria, la dévouée et secrète servante du baron, qui détient la clé du mystère.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après L'HOMME QUI VOULAIT SAVOIR, George Sluizer a réalisé ce film étrange au centre duquel se trouve un mystère aussi fascinant que celui du précédent. Chaque figurine, dont la fragilité rappelle celle du baron, possède un passé aussi intrigant que celui du vieil homme. Malheureusement, le scénario n'exploite pas suffisamment ce riche filon et l'oeuvre se perd rapidement dans de fréquents et multiples flashbacks qui prêtent à confusion. Si le propos tarde à se préciser, la mise en scène n'en demeure pas moins attentive, la photographie riche en détails et la musique délicieusement berçante. Mueller-Stahl compose avec grâce un personnage énigmatique.

Texte : André Caron

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