Go to main content
4

La Vie fantôme

Can. 1992. Drame de moeurs de Jacques Leduc avec Ron Lea, Pascale Bussières, Johanne-Marie Tremblay. Un homme marié entretient une relation extra-conjugale avec une jeune libraire. Thème du triangle amoureux abordé de manière contemplative. Oeuvre troublante portant à réflexions. Mise en scène sobre. Jeu touchant des comédiens.

16 ans +
4

La Vie fantôme (La Vie fantôme)

16 ans + 16 ans +

Can. 1992. Drame de moeurs de Jacques Leduc avec Ron Lea, Pascale Bussières, Johanne-Marie Tremblay.

Un homme marié entretient une relation extra-conjugale avec une jeune libraire. Thème du triangle amoureux abordé de manière contemplative. Oeuvre troublante portant à réflexions. Mise en scène sobre. Jeu touchant des comédiens.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Photographie :
Montage :
Pays :
Distributeur :
Max Films
Producteurs :
Récompenses
Parents de deux enfants, Pierre et Annie forment un couple heureux et apparemment stable. Pierre entretient pourtant une relation extra-conjugale avec Laure. Amoureux et attentif avec les deux femmes de sa vie, ce bigame organise soigneusement son emploi du temps pour éviter que son épouse ne découvre son infidélité. Tout porte à croire d'ailleurs qu'Annie ne sait rien. Quant à Laure, elle s'avère de moins en moins satisfaite des maigres heures que son amant lui consacre. Elle voudrait qu'il s'engage de façon ouverte mais Pierre refuse. Laure rompt avec lui au lendemain d'un séjour en Floride écourté par l'arrivée inopinée d'Annie. Pierre aura bien du mal à cacher sa peine et à reconquérir sa maîtresse.

L’AVIS DE MEDIAFILM

LA VIE FANTÔME n'est pas le premier film à se pencher sur la problématique du triangle amoureux, mais l'approche qu'ont choisie les auteurs déroge aux conventions. Jacques Leduc et Yvon Rivard ne tentent pas d'expliquer les causes de l'infidélité, ni même de fouiller la psychologie de leurs protagonistes. Le traitement est plutôt contemplatif. La caméra se contente d'observer le comportement des personnages et laisse le spectateur libre de tirer ses conclusions. Il en résulte une oeuvre troublante qui porte à réfléchir malgré la nature répétitive des développements. La mise en scène est sobre mais demeure attentive au jeu des comédiens. Ceux-ci s'avèrent parfois très touchants.

Texte : Johanne Larue

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3