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Candyman, le spectre maléfique (Candyman)

É.-U. 1992. Drame fantastique de Bernard Rose avec Virginia Madsen, Tony Todd, Xander Berkeley. Une jeune anthropologue enquête sur un meurtre qu'une croyance populaire attribue à un être maléfique. Mélange habile de réalisme et de fantastique. Bonne progression dramatique. Ensemble solidement réalisé et interprété.

13 ans + (violence, horreur)
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Candyman, le spectre maléfique (Candyman)

13 ans + (violence, horreur) 13 ans + (violence, horreur)

É.-U. 1992. Drame fantastique de Bernard Rose avec Virginia Madsen, Tony Todd, Xander Berkeley.

Une jeune anthropologue enquête sur un meurtre qu'une croyance populaire attribue à un être maléfique. Mélange habile de réalisme et de fantastique. Bonne progression dramatique. Ensemble solidement réalisé et interprété.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Columbia
Helen Lyle, une jeune anthropologue spécialisée dans les croyances superstitieuses, décide d'enquêter sur un meurtre commis dans un quartier pauvre de Chicago. Son intérêt est motivé par une rumeur voulant que ce crime ait été perpétré par un personnage légendaire nommé Candyman. En explorant l'immeuble où s'est déroulé le drame, Helen est brutalement assaillie par des voyous, dont le chef s'amuse à personnifier Candyman afin de terroriser les gens du voisinage. Mais le véritable Candyman, un Noir doté de pouvoirs surnaturels, ne tarde pas à se manifester en commettant des crimes horribles dans l'entourage d'Helen.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Bernard Rose s'est fait remarquer des amateurs de fantastique en signant un premier film nettement original, PAPERHOUSE, dans lequel il proposait un mélange habile d'épouvante et de poésie onirique. Il récidive avec un film moins original, mais indéniablement efficace. Le récit contient beaucoup d'éléments surnaturels convenus, mais ceux-ci sont placés dans un contexte urbain réaliste, voire misérabiliste, ce qui leur confère une dimension assez prenante. Ainsi, le film plonge d'abord dans un climat mystérieux et intrigant, puis l'angoisse s'installe progressivement pour se muer, vers la fin, en pure horreur. L'ensemble est très solidement réalisé et interprété.

Texte : Martin Girard

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