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Le Fantôme de l'opéra (The Phantom of the Opera)

É.-U. 1989. Drame d'horreur de Dwight H. Little avec Robert Englund, Jill Schoelen, Alex Hyde-White. Transportée dans l'Angleterre victorienne, une chanteuse d'opéra voit sa carrière facilitée par l'action d'un inconnu vivant dans le sous-sol du théâtre. Adaptation libre du roman de Gaston Leroux. Mise en scène inégale. Accent mis sur des effets morbides. Bon jeu de R. Englund.

16 ans + (horreur)
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Le Fantôme de l'opéra (The Phantom of the Opera)

16 ans + (horreur) 16 ans + (horreur)

É.-U. 1989. Drame d'horreur de Dwight H. Little avec Robert Englund, Jill Schoelen, Alex Hyde-White.

Transportée dans l'Angleterre victorienne, une chanteuse d'opéra voit sa carrière facilitée par l'action d'un inconnu vivant dans le sous-sol du théâtre. Adaptation libre du roman de Gaston Leroux. Mise en scène inégale. Accent mis sur des effets morbides. Bon jeu de R. Englund.

Peu après avoir découvert une partition écrite par Erik Desler, un musicien mystérieux du siècle dernier, la jeune chanteuse Christine Day passe une audition dans un théâtre de New York. Frappée accidentellement à la tête, elle se trouve transportée dans l'Angleterre victorienne où elle est choriste à l'opéra de Londres. Mais un étrange personnage défiguré qui vit dans les sous-sols de l'édifice favorise sa carrière par des actes de violence. Il s'agit de Desler qui finit par enlever Christine pour l'amener dans son repaire, mais la police intervient. La chanteuse se réveille à New York et croit reconnaître Desler dans le directeur du théâtre.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le succès à la scène d'un opéra d'Andrew Lloyd Webber d'après le célèbre roman de Gaston Leroux a suscité une nouvelle adaptation filmique. Le scénario transpose très librement le sujet en y mêlant des allusions à Faust et à Jack l'Éventreur. La mise en scène est le fait d'un diplômé de la série NIGHTMARE ON ELM STREET et utilise le style violent de ces films, allant même jusqu'à emprunter l'interprète de Freddy Krueger pour tenir le rôle du fantôme. Le résultat est inégal, mais on y trouve des moments inventifs et Robert Englund compose son personnage avec un certain savoir-faire.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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