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3 Hommes et un couffin

Fr. 1985. Comédie de moeurs de Coline Serreau avec Roland Giraud, Michel Boujenah, André Dussollier. Trois célibataires endurcis partageant un grand appartement vont devoir se transformer en pères adoptifs d'un bébé déposé devant leur porte. Comédie agréable sur la responsabilité paternelle. Rythme alerte. Ton de tendresse amusée. Traitement sympathique. Interprétation enjouée.

Général
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3 Hommes et un couffin (3 Hommes et un couffin)

Général Général

Fr. 1985. Comédie de moeurs de Coline Serreau avec Roland Giraud, Michel Boujenah, André Dussollier.

Trois célibataires endurcis partageant un grand appartement vont devoir se transformer en pères adoptifs d'un bébé déposé devant leur porte. Comédie agréable sur la responsabilité paternelle. Rythme alerte. Ton de tendresse amusée. Traitement sympathique. Interprétation enjouée.

Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Montage :
Pays :
Distributeur :
Films SMC
Récompenses
Pierre, Michel et Jacques, célibataires endurcis et coureurs de jupons, occupent en toute amitié un grand appartement à Paris. Alors que Jacques, stewart sur une ligne aérienne, est en vacances en Asie, une de ses conquêtes, Sylvia, dépose à la porte de l'appartement un panier contenant un bébé dont il est présumément le père. Ses deux amis s'occupent tant bien que mal de l'enfant, une fille prénommée Marie, en attendant qu'il revienne, ce qui ne va pas sans leur causer divers ennuis. À son retour, Jacques n'arrive pas à placer Marie dans sa famille et les trois copains se partagent les tâches d'entretien jusqu'à ce que Sylvia survienne quelques mois plus tard.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Poursuivant sur un ton souriant sa critique sociale à saveur féministe, Coline Serreau offre une agréable comédie sur la responsabilité paternelle. La présence charmante d'un tout jeune enfant et la maladresse exagérée de ses tuteurs impromptus fournissent des effets sûrs bien qu'un peu faciles, mais les légères complaisances qui parsèment le récit sont vite oubliées dans la bonne humeur conquérante de l'ensemble. Le film se poursuit sur un rythme alerte et un certain ton de tendresse amusée allège la bouffonnerie fabriquée de quelques passages. Une interprétation enjouée ajoute au côté sympathique du traitement.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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