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Ténèbres (Tenebre)

It. 1982. Drame policier de Dario Argento avec Anthony Franciosa, Daria Nicolodi, Giuliano Gemma. À Rome, un écrivain américain cherche à identifier un assassin maniaque dont les crimes ressemblent étrangement à ceux qu'il a décrits dans son dernier roman. Thriller assez classique. Effets sanglants importants mais parfois grotesques à force d'excès. Réalisation inégale. Interprétation manquant de conviction.

16 ans + (violence)
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Ténèbres (Tenebre)

16 ans + (violence) 16 ans + (violence)

It. 1982. Drame policier de Dario Argento avec Anthony Franciosa, Daria Nicolodi, Giuliano Gemma.

À Rome, un écrivain américain cherche à identifier un assassin maniaque dont les crimes ressemblent étrangement à ceux qu'il a décrits dans son dernier roman. Thriller assez classique. Effets sanglants importants mais parfois grotesques à force d'excès. Réalisation inégale. Interprétation manquant de conviction.

Genre :
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Distributeur :
Vivafilm
L'écrivain américain Peter Neal se rend à Rome pour le lancement en Italie de son dernier roman, "Ténèbres". Peu de temps après son arrivée, un assassin maniaque se met à faire des siennes et ses crimes ressemblent étrangement à ceux qui sont décrits dans le livre de Neal. Celui-ci reçoit par ailleurs des messages anonymes semblant venir du détraqué. Concurremment à la police, Neal s'engage dans une enquête avec l'aide d'un jeune Italien, Gianni. Celui-ci assiste abasourdi à la mort du meurtrier présumé, attaqué par un inconnu. D'autres meurtres se succèdent jusqu'à ce que le coupable soit surpris par un policier.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après quelques essais dans le cauchemar fantastique (SUSPIRIA, INFERNO), Dario Argento est retourné à la formule des thrillers qui avaient marqué ses débuts. Son goût pour les effets sanglants apparaît cependant plus marqué, à tel point que certains passages confinent au grotesque à force d'excès. Le réalisateur a réservé son énergie brouillonne pour les passages horrifiques alors que les séquences d'exposition et de narration sont d'une facture fort banale. Les acteurs jouent le jeu avec une conviction réduite au strict minimum.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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