Chan is Missing

Name: Chan is Missing
Director: Wayne Wang
Genre: Étude de moeurs
Duration: 76 min.

É.-U. 1981. Étude de moeurs de Wayne Wang avec Wood Moy, Marc Hayashi, Laureen Chow. Un chauffeur de taxi sino-américain et son neveu recherchent un affairiste venu de Taiwan qui a disparu en leur dérobant leurs économies. Vignettes révélatrices des problèmes d'identité de la communauté chinoise d'Amérique. Dialogues signifiants. Humour discret. Montage rugueux. Jeu modeste et efficace.

Chan is Missing (Chan is Missing)

Général

É.-U. 1981. Étude de moeurs de Wayne Wang avec Wood Moy, Marc Hayashi, Laureen Chow.

Un chauffeur de taxi sino-américain et son neveu recherchent un affairiste venu de Taiwan qui a disparu en leur dérobant leurs économies. Vignettes révélatrices des problèmes d'identité de la communauté chinoise d'Amérique. Dialogues signifiants. Humour discret. Montage rugueux. Jeu modeste et efficace.

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Genre :

Étude de moeurs

Année :

1981

Durée :

76 min.

Réalisation :

Wayne Wang

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Art Films

Interprètes :

Wood Moy
Marc Hayashi
Laureen Chow

Un chauffeur de taxi sino-américain, Jo, et son jeune neveu, Steve, veulent gérer leur propre entreprise de transport. Ils ont confié leurs économies à un certain Chan Hung, affairiste venu de Taiwan, mais celui-ci ne donne plus de signe de vie. Jo se met donc à sa recherche, craignant que l'homme ne se soit enfui avec leur avoir. Il rencontre diverses personnes liées à Chan d'une façon ou d'une autre et obtient sur lui des renseignements contradictoires. Il finit par récupérer une partie de son argent mais Chan reste introuvable.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Tourné avec fort peu de moyens mais beaucoup de débrouillardise, ce film d'un réalisateur oriental élevé à San Francisco se propose d'illustrer les problèmes d'identité de la communauté chinoise d'Amérique. L'intrigue commence comme une enquête policière, mais il apparaît vite qu'il ne s'agit là que d'un prétexte pour aligner divers aspects du thème abordé. Les vignettes révélatrices et les dialogues signifiants se succèdent dans un montage un peu rugueux, mais l'humour discret de l'approche fait oublier les aspérités du traitement. Le jeu modeste et pourtant efficace de Wood Moy contribue pour beaucoup à un climat sympathique.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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