Remarquable

Absence de malice (Absence of Malice)

Name: Absence de malice
Director: Sydney Pollack
Genre: Drame social
Duration: 116 min.

É.-U. 1981. Drame social de Sydney Pollack avec Paul Newman, Sally Field, Bob Balaban. Manipulée à son insu par un enquêteur fédéral, une journaliste de Miami écrit des articles qui ont des conséquences néfastes. Scénario complexe. Réflexions pertinentes sur l'exercice du journalisme. Mise en scène solide. Interprétation convaincante.

Absence de malice (Absence of Malice)

Général

É.-U. 1981. Drame social de Sydney Pollack avec Paul Newman, Sally Field, Bob Balaban.

Manipulée à son insu par un enquêteur fédéral, une journaliste de Miami écrit des articles qui ont des conséquences néfastes. Scénario complexe. Réflexions pertinentes sur l'exercice du journalisme. Mise en scène solide. Interprétation convaincante.

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Genre :

Drame social

Année :

1981

Durée :

116 min.

Réalisation :

Sydney Pollack

Scénario :

Kurt Luedtke

Photographie :

Owen Roizman

Musique :

Dave Grusin

Montage :

Sheldon Kahn

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Astral

Interprètes :

Paul Newman
Sally Field
Bob Balaban
Melinda Dillon
Luther Adler
Barry Primus
Josef Sommer
John Harkins
Don Hood
Wilford Brimley

Manipulée par un enquêteur fédéral, une journaliste de Miami, Megan Carter, écrit un article qui laisse entendre qu'un certain Gallagher est impliqué dans la disparition mystérieuse d'un chef syndical. Un peu plus tard, une amie de Gallagher est poussée au suicide par un autre article de Megan après avoir tenté de le disculper. Gallagher entreprend de se venger en utilisant les mêmes armes que ses adversaires. Il se sert de Megan pour provoquer une querelle entre l'enquêteur et le procureur local, ce qui entraîne l'intervention d'un représentant du gouvernement.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Contrairement à ALL THE PRESIDENT'S MEN où l'on faisait l'éloge des journalistes, ce film met en question certaines façons de procéder du quatrième pouvoir. Le récit s'avère assez complexe, mais on le mène de façon intelligible à travers des incidents qui apparaissent vraisemblables en dépit d'un agencement un peu trop concerté. La mise en scène, solide et efficace, ne laisse pas de temps mort dans le récit. Sally Field (NORMA RAE) joue avec la pétulance voulue auprès d'un Paul Newman (QUINTET) à l'expression judicieusement retenue.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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