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La Randonnée (Walkabout)

Aust. 1970. Aventures de Nicolas Roeg avec Jenny Agutter, David Gulpilil, Lucien John. Un indigène débrouillard vient en aide à deux enfants égarés dans une région désertique. Admirables prises de vue de l'arrière-pays australien. Rapports entre les personnages établis avec délicatesse. Mise en scène symbolique. Interprétation spontanée et juste.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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La Randonnée (Walkabout)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

Aust. 1970. Aventures de Nicolas Roeg avec Jenny Agutter, David Gulpilil, Lucien John.

Un indigène débrouillard vient en aide à deux enfants égarés dans une région désertique. Admirables prises de vue de l'arrière-pays australien. Rapports entre les personnages établis avec délicatesse. Mise en scène symbolique. Interprétation spontanée et juste.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Edward Bond
D'après le roman de James Vance Marshall
Pays :
Distributeur :
20th Century Fox
Un homme se suicide, dans une région désertique d'Australie, abandonnant à leur sort ses enfants, une fille de quatorze ans et un garçon de six ans. Mal équipés pour faire face aux difficultés de la vie en cette région, les deux enfants vont périr lorsqu'il font la rencontre d'un jeune aborigène en train d'accomplir ses épreuves d'initiation. Celui-ci les prend sous sa protection et arrive à les ramener à une route qui les conduira à la civilisation. Entre-temps, l'indigène s'est pris d'un amour éperdu pour l'adolescente et, après son échec à la séduire par une danse rituelle, il se pend.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ancien chef-opérateur, Nicolas Roeg a particulièrement soigné l'imagerie de son film et il livre d'admirables prises de vue de l'arrière-pays australien. Le film en prend un aspect idyllique en dépit de la dureté de l'épreuve imposée à ses jeunes héros. Les rapports établis entre les personnages sont exposés avec délicatesse et un certain sens de la litote. Notons cependant une tendance agaçante de l'auteur à semer son film de symboles opposant une certaine forme de civilisation à la vie en pleine nature. L'interprétation est spontanée et juste.

Texte : Robert-Claude Bérubé

COMMENTAIRES

04 mai 2015, 10:50:11

Par : Pascal Grenier, Montréal

Ce film mérite d'être reconsidéré. Il devrait tout au moins être coté 3.

J'attribue à ce film la Cote 3


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