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Entre la mer et l'eau douce

Can. 1967. Drame sentimental de Michel Brault avec Claude Gauthier, Geneviève Bujold, Paul Gauthier. Un jeune campagnard venu travailler à Montréal se découvre une vocation de chanteur. Approche sympathique de problèmes humains. Construction dramatique faible. Excellente photographie. Interprètes de talent. (sortie en salle: 19 juin 2008)

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Entre la mer et l'eau douce (Entre la mer et l'eau douce)

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Can. 1967. Drame sentimental de Michel Brault avec Claude Gauthier, Geneviève Bujold, Paul Gauthier.

Un jeune campagnard venu travailler à Montréal se découvre une vocation de chanteur. Approche sympathique de problèmes humains. Construction dramatique faible. Excellente photographie. Interprètes de talent. (sortie en salle: 19 juin 2008)

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n/d
Producteurs :
Claude Tremblay quitte la Côte Nord pour venir travailler à Montréal. Il y occupe divers emplois et courtise une serveuse de restaurant, Geneviève. S'étant présenté comme chanteur dans une compétition d'amateurs, Claude remporte le premier prix et ce succès lui est l'occasion d'une brève aventure avec une femme mariée. Une rupture s'ensuit entre Geneviève et lui. Après être retourné quelque temps à son village, Claude revient à Montréal où il connaît le succès avec ses chansons.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Renonçant à une véritable dramatisation de son sujet, l'auteur se contente d'accumuler les incidents avec le résultat que le scénario fait eau de toute part et que le personnage central n'est jamais bien défini Un éclairage aléatoire laisse soupçonner les difficultés de tournage, mais la photographie reste bonne dans l'ensemble, surtout en extérieurs. Le film profite beaucoup de la présence de Claude Gauthier et de son talent musical et Geneviève Bujold parvient presque à émouvoir avec rien.

Texte : Robert-Claude Bérubé

Revue de presse

Qui Trop embrasse mal étreint

[Le film] n'est guère plus, finalement, que du reportage romancé devant lequel le spectateur n'arrive pas à s'attacher vraiment à un personnage. (...) Le film laisse le souvenir d'un tableau agréable, pittoresque, mais vain et superficiel, d'un milieu trop vaste et mal défini.

Entre la mer et l'eau douce Michel Brault

J'ai Perdu l'espoir du monde...

Cinéma libre (...). Libéré des contraintes du "spectacle" par la pratique du direct. Épargné par les mauvaises habitudes de la mis en scène et de la direction d'acteurs traditionnelles, pour les mêmes raisons. Claude et Geneviève, admirablement dirigés, parce que respectés.

Entre la mer et l'eau douce Michel Brault

Entre Bujold et Gauthier, un film comme nous

La photographie est superbe, et les chansons de Claude Gauthier collent à l'esprit et à l'action du film. Une seule réserve : la synchronisation du son est purement abominable. Mais ça ne l'empêche pas d'être agréable, et qu'l faut voir non parce que c'est un film québécois mais parce que c'est un bon film, simplement.

Entre la mer et l'eau douce Michel Brault

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