Un modeste employé se croit devenu un grand peintre après avoir fait une toile. Lent et monotone. Dialogue plat. Bon jeu de Fernandel.
Pour raconter au cinéma une histoire provençale, tout le monde n'a pas le talent et le style d'un Pagnol. Maurice Cloche semble l'avoir oublié. Son film est lent, monotone et desservi par un dialogue plat et ennuyeux. Fernandel, malgré sa mimique et son accent toujours savoureux, ne parvient pas à faire oublier la faiblesse de l'ensemble.