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Genre : | Comédie dramatique |
Année : | 2015 |
Durée : | 103 min. |
Production : |
Lyse Lafontaine
François Tremblay |
Réalisation : |
Léa Pool
|
Scénario : |
Léa Pool
Marie Vien |
Photographie : |
Daniel Jobin
|
Musique : |
François Dompierre
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Montage : |
Michel Arcand
|
Pays : |
Canada (Québec) |
Distributeur : | Les Films Séville |
Interprètes : |
Céline Bonnier
Lysandre Ménard Diane Lavallée Valérie Blais Élizabeth Tremblay-Gagnon Marie Tifo Pierrette Robitaille Marie-France Lambert Andrée Lachapelle Anne-Élisabeth Bossé Maude Guérin Gilbert Sicotte |
Récompenses | |
Festival du film historique de Waterloo, Prix du public, 2017
Festival du film historique de Waterloo, Prix de la révélation féminine, 2017
|
À la fin des années 1960 au Québec, une religieuse qui enseigne la musique met tout en oeuvre pour sauver son école, menacée de fermeture. L'arrivée de sa nièce au caractère rebelle ne lui facilite pas la tâche.
À travers ce portrait nuancé d'une communauté religieuse, Léa Pool (MAMAN EST CHEZ LE COIFFEUR) évoque avec intelligence une page d'histoire du Québec moderne. Toutefois, les personnages secondaires s'avèrent superficiels et la réalisation, soignée mais trop sage. Dans le rôle de la combative héroïne, Céline Bonnier offre une interprétation convaincante.
Odile Tremblay (Le Devoir)
LA PASSION D'AUGUSTINE est un feel good movie rempli de bonnes intentions et de gentillesse, mais appuyé. (...) On saura gré à la cinéaste d’explorer notre histoire dans l’éclatement de sa Révolution tranquille, sur laquelle tant de voiles restent à soulever.
Isabelle Hontebeyrie (Le Journal de Montréal)
Si Céline Bonnier - dont les traits, à la fois doux et durs, sont magnifiés par le bonnet blanc et la coiffe noire - s'impose comme la pierre angulaire sur laquelle repose le long métrage, le reste de la distribution laisse pantois d'admiration.
T’Cha Dunlevy (The Gazette)
The nuns aren't caricatured as stuffy old marms, but rather as complex characters confronted with great change. For strict French teacher Soeur Lise (Diane Lavallée), change is unthinkable.
Patricia Robin (Séquences)
(...) la justesse du jeu de Céline Bonnier et de Lysandre Ménard transcende la sensibilité contenue. (...) Léa Pool signe ici son œuvre la plus achevée par une facture nette et précise aux décors et aux éclairages justes et naturels.
Jean Siag (La Presse)
La jeune pianiste (...) crève l'écran. Ses interprétations au piano sont sublimes. (...) la musique sort gagnante de ce film à la frontière de la docufiction. Avec Céline Bonnier qui joue avec justesse le rôle de la mère supérieure, les deux femmes nous offrent les scènes les plus touchantes du film.
Dennis Harvey (Variety)
THE PASSION OF AUGUSTINE never feels simplistic, or slow, its leisurely yet purposeful progress gracefully folding in numerous performances of classical piano works - as well as gorgeous vocal excerpts for girls’ and women’s choirs, performed by ensembles from original score (...) Dompierre.
Jean-Claude Raspiengeas (La Croix)
Léa Pool reconstitue avec minutie la vie monastique (...) corsetée de cette communauté de femmes si différentes et néanmoins unies. Elle tourne les pages de ce livre d’heures, tantôt joyeuses, tantôt tendues, prenant le temps de décrire par une série de saynètes la gamme des individualités sous le voile.
Guillemette Odicino (Télérama)
Même si Chopin est moins remuant que Donna Summer, il souffle une belle énergie dans ce film classique à la belle image et aux seconds rôles touchants, comme cette nonne qui pleure de se voir sans voile en son miroir...
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Hikari |
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Jap. 2017. Drame psychologique de Naomi Kawase avec Ayame Misaki, Masatoshi Nagase, Tatsuya Fuji. En deuil de son père et aux prises avec une mère sénile qui vit à la campagne, une narratrice de films pour personnes aveugles fait la connaissance d'un photographe bourru, qui accepte mal de perdre progressivement la vue. |
Par: daniel marquis, bromont
J'ai bien apprécié ce film. Ce n'est pas le meilleur film de Léa Pool mais il a le mérite de témoigner du destin des femmes, les religieuses prises dans la tourmente de la révolution tranquille. L'interprétation est juste.
J'attribue à ce film la Cote