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Knights of the Zodiac

Jeudi 02 Mai à 16:30 | CRAVE

Jap. 2023. Aventures de Tomasz Baginski avec Mackenyu, Famke Janssen, Madison Iseman. Un orphelin des rues se fait le protecteur d'une jeune fille habitée par l'esprit d'une déesse, puis intègre un ordre de chevaliers mystiques se livrant une guerre épique. Adaptation fade d’un célèbre manga. Scénario tortueux et vide. Réalisation limitée par l’absence de moyens. Prestations aguerries d’abonnés au genre, dont S. Bean. (sortie en salle: 12 mai 2023)

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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Knights of the Zodiac (Knights of the Zodiac)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

Jap. 2023. Aventures de Tomasz Baginski avec Mackenyu, Famke Janssen, Madison Iseman.

Un orphelin des rues se fait le protecteur d'une jeune fille habitée par l'esprit d'une déesse, puis intègre un ordre de chevaliers mystiques se livrant une guerre épique. Adaptation fade d’un célèbre manga. Scénario tortueux et vide. Réalisation limitée par l’absence de moyens. Prestations aguerries d’abonnés au genre, dont S. Bean. (sortie en salle: 12 mai 2023)

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Adolescent rebelle ayant grandi dans la rue, Seiya gagne sa vie en se battant, tout en continuant à rechercher sa soeur disparue, enlevée il y a longtemps. Quand un de ses nombreux combats réveille soudainement des pouvoirs en lui qu'il ne soupçonnait pas, Seiya se voit plongé dans un monde de chevaliers se livrant une guerre sainte aux enjeux épiques. Parmi eux, Seiya rencontre une déesse réincarnée dans le corps d'une adolescente, qu’il décide de prendre sous sa protection. S'il veut survivre à ses côtés, Seiya devra embrasser son destin et tout sacrifier pour prendre la place qui lui revient auprès des Chevaliers du Zodiaque.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Adaptation occidentale d’un célèbre manga asiatique, cette coproduction américano-japonaise, réalisée par le Polonais Tomasz Baginski, a visiblement été conçue dans l’espoir de rejoindre le plus vaste public possible. D’où, sans doute, l’impression d’affadissement qui entoure ce produit sans âme ni personnalité, qui réduit une oeuvre originale qu’on dit riche aux clichés d’un film 100 % synthétique. Tortueux mais vide, le scénario complique à outrance une histoire simple, qui se termine précisément au moment où elle aurait dû commencer (il s'agit de l'épisode inaugural d'une série dont on imagine mal qu’elle prenne véritablement son envol). La mise en scène est visiblement limitée par la minceur du budget, le film croulant sous une surabondance de trucages fauchés, de décors recyclés et de musique épique à rabais. Reste la distribution, composée de nouveaux venus et d’abonnés à ce genre d’entreprises comme Sean Bean, Famke Janssen et Nick Stahl. Bien que solides, ces derniers contribuent à l’aspect "déjà vu" de ce divertissement suranné et convenu.

Texte : Georges Privet

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