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We're All Going to the World's Fair

É.-U. 2022. Drame d'horreur de Jane Schoenbrun avec Anna Cobb, Michael J Rogers, Holly Anne Frink. Une adolescente solitaire, qui filme sa vie et la met en ligne, participe à un jeu de rôle macabre virtuel, avec un homme mystérieux qui développe une fascination pour elle. Ovni imprévisible, au carrefour du film d'horreur et du récit initiatique. Regard contemporain et nuancé sur la culture virtuelle. Réalisation maîtrisée. A. Cobb très émouvante. (sortie en salle: 22 avril 2022)

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We're All Going to the World's Fair (We're All Going to the World's Fair)

É.-U. 2022. Drame d'horreur de Jane Schoenbrun avec Anna Cobb, Michael J Rogers, Holly Anne Frink.

Une adolescente solitaire, qui filme sa vie et la met en ligne, participe à un jeu de rôle macabre virtuel, avec un homme mystérieux qui développe une fascination pour elle. Ovni imprévisible, au carrefour du film d'horreur et du récit initiatique. Regard contemporain et nuancé sur la culture virtuelle. Réalisation maîtrisée. A. Cobb très émouvante. (sortie en salle: 22 avril 2022)

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Casey vit dans une petite communauté rurale isolée des États-Unis. Totalement coupée du reste de sa famille, l'adolescente introvertie passe ses journées à faire des vidéos documentant chaque aspect de sa vie, pour les mettre ensuite en ligne. Un jour, elle décide de participer à ''The World's Fair'', un étrange jeu de rôle virtuel, aussi macabre qu'ésotérique. Ce qui l'amène à faire la connaissance d'un homme mystérieux, qui développe une fascination pour elle.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Premier long métrage de fiction de Jane Schoenbrun, documentariste fascinée par internet, WE'RE ALL GOING TO THE WORLD'S FAIR pose un regard complexe et nuancé sur une génération qui a grandi avec le virtuel. Inspiré du phénomène des ''creepypastas'' – légendes urbaines propagées en ligne, puis amplifiées par de nombreuses déclinaisons multimédia –, le scénario se distingue par son originalité et sa sensibilité. Les changements de ton, entre récit initiatique et film d'horreur, sont parfaitement négociés et les attentes du spectateur, constamment déjouées. Enfin, il faut souligner la performance émouvante de la jeune Anna Cobb, véritable révélation de cet ovni inclassable.

Texte : Georges Privet

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