Remarquable

Trois nuits par semaine

Name: Trois nuits par semaine
Director: Florent Gouëlou
Genre: Comédie sentimentale
Released: 2023-04-19 15:30:15
Duration: 103 min.

Fr. 2022. Comédie sentimentale de Florent Gouëlou avec Pablo Pauly, Romain Eck, Hafsia Herzi. Un jeune parisien en couple avec une femme tombe amoureux d'une drag queen rencontrée à l'occasion d'un projet photo. Peinture réaliste et glamour du monde des drags queens. Scénario approximatif. Réalisation banale. Interprétation parfois amateure. P. Pauly crédible et touchant.

Trois nuits par semaine (Trois nuits par semaine)

Fr. 2022. Comédie sentimentale de Florent Gouëlou avec Pablo Pauly, Romain Eck, Hafsia Herzi.

Un jeune parisien en couple avec une femme tombe amoureux d'une drag queen rencontrée à l'occasion d'un projet photo. Peinture réaliste et glamour du monde des drags queens. Scénario approximatif. Réalisation banale. Interprétation parfois amateure. P. Pauly crédible et touchant.

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Genre :

Comédie sentimentale

Année :

2022

Durée :

103 min.

Réalisation :

Florent Gouëlou

Scénario :

Florent Gouëlou
Raphaëlle Desplechin

Photographie :

Vadim Alsayed

Musique :

Benoît de Villeneuve
Benjamin Morando

Montage :

Louis Richard

Pays :

France

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Pablo Pauly
Romain Eck
Hafsia Herzi
Harald Marlot
Mathias Houngnikpo
Holy Fatma
Calypso Baquey
Jean-Marie Gouëlou
Andrea Romano
Françoise Lorente

Baptiste vit en couple depuis plusieurs années avec Samia. À l'occasion d’un projet photo sur les drag queens de Paris, il tombe amoureux de Quentin, alias Cookie. Celle-ci, qui en a vu d’autres, cède peu à peu au charme de cet homme qui ne sait plus qui il est.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Pour son premier long métrage, Florent Gouëlou – également drag queen – dépeint une réalité qu’il connaît bien, n’évitant pas ses aspects plus sombres, mais l’habillant d’un look glamour de mise. Hélas, on ne croit jamais à ce couple improbable, au coeur du film, tant le scénario est approximatif et la réalisation, banale. De plus, les interprètes pêchent par amateurisme, face à un Pablo Pauly crédible et touchant en hétéro perdu.

Texte : Éric Fourlanty

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