You Are Not My Mother

Name: You Are Not My Mother
Director: Kate Dolan
Genre: Drame d'horreur
Released: 2021-09-13 12:19:59
Duration: 93 min.

Irl. 2021. Drame d'horreur de Kate Dolan avec Hazel Doupe, Paul Reid, Carolyn Bracken. Une adolescente s’inquiète du comportement de sa mère instable, rentrée transformée à la maison après avoir disparu pendant plusieurs heures. Horreur métaphorique familière mais de bonne facture. Récit saupoudré de folklore irlandais. Direction photo impeccable. Interprètes habitées.

You Are Not My Mother (You Are Not My Mother)

Irl. 2021. Drame d'horreur de Kate Dolan avec Hazel Doupe, Paul Reid, Carolyn Bracken.

Une adolescente s’inquiète du comportement de sa mère instable, rentrée transformée à la maison après avoir disparu pendant plusieurs heures. Horreur métaphorique familière mais de bonne facture. Récit saupoudré de folklore irlandais. Direction photo impeccable. Interprètes habitées.

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Genre :

Drame d'horreur

Année :

2021

Durée :

93 min.

Réalisation :

Kate Dolan

Scénario :

Kate Dolan

Photographie :

Narayan Van Maele

Musique :

Die Hexen

Montage :

John Cutler

Pays :

Irlande

Interprètes :

Hazel Doupe
Paul Reid
Carolyn Bracken
Ingrid Craige
Jordanne Jones

C’est le temps du Samhain, l’Halloween irlandais. Alors que les habitants sortent les décorations, l'adolescente Char se préoccupe de la santé mentale de sa mère Angela. Ce matin-là, elle a eu du mal à sortir du lit pour l’accompagner à l’école. Puis, elle a disparu. Pas longtemps. Quelques heures seulement. Passé le soulagement de voir sa mère rentrée à la maison, Char s’étonne de son comportement anormal, de sa violence. Elle ne la reconnaît plus. Et si sa mère n’était plus vraiment sa mère?

L’AVIS DE MEDIAFILM

Tourné à Dublin durant la seconde vague de la pandémie de COVID-19, YOU ARE NOT MY MOTHER s’ajoute à la liste des bons films irlandais ayant récemment investi le territoire de l’horreur (CITADEL, A DARK SONG, THE HOLE IN THE GROUND). En s'inspirant du folklore de son pays, Kate Dolan vise, avec ce premier long métrage, à dépeindre une relation mère-fille fragilisée par les failles psychologiques de la première. Cette variation autour du film de possession, enrichie de clins d’oeil à la figure de la sorcière, ne surprendra peut-être pas les amateurs d’horreur métaphorique. Mais la cinéaste soigne la forme: cadres travaillés, musique angoissante, direction photo impeccable. Habitées, Carolyn Bracken et la jeune Hazel Doupe confèrent à l’ensemble son supplément d’âme. (Texte rédigé en septembre 2021, dans le cadre du Festival international du film de Toronto)

Texte : Céline Gobert

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