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Homebound

G.-B. 2021. Drame d'horreur de Sebastian Godwin avec Tom Goodman-Hill, Raffiella Chapman, Aisling Loftus. Un homme retourne dans la maison de campagne qu'il occupait jadis avec son ancienne épouse pour y présenter sa nouvelle compagne à ses trois enfants. Huis clos minimaliste mêlant maladroitement psychologie et horreur. Récit mince et prévisible. Réalisation assurée mais peu imaginative. Personnages stéréotypés. Interprètes adéquats, mais sans plus.

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Homebound (Homebound)

G.-B. 2021. Drame d'horreur de Sebastian Godwin avec Tom Goodman-Hill, Raffiella Chapman, Aisling Loftus.

Un homme retourne dans la maison de campagne qu'il occupait jadis avec son ancienne épouse pour y présenter sa nouvelle compagne à ses trois enfants. Huis clos minimaliste mêlant maladroitement psychologie et horreur. Récit mince et prévisible. Réalisation assurée mais peu imaginative. Personnages stéréotypés. Interprètes adéquats, mais sans plus.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Musique :
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Distributeur :
Vortex Media
Richard revient dans la maison de campagne qu'il occupait jadis avec son ancienne épouse et leurs trois enfants, à l'occasion d'une fête destinée à célébrer l'anniversaire de la cadette. Mais Richard n'est pas venu seul: il a amené avec lui Holly, sa nouvelle (et très jeune) compagne, dans le but de la présenter au reste de la famille. Toutefois, le couple découvre à son arrivée que la maison est presque déserte: l'ex-femme de Richard est mystérieusement absente, leur fille cadette se comporte bizarrement et les deux autres enfants semblent aussi méfiants qu'inquiétants. Pour Holly, déjà nerveuse à l'idée de rencontrer sa "nouvelle famille", c'est le début d'une journée particulièrement étrange...

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le premier long métrage de Sebastian Godwin se présente comme un huis clos minimaliste, tentant de mêler drame psychologique et film d'horreur. Malheureusement, sa prémisse, plutôt mince, est développée sans grande originalité, au fil d'un scénario dont la mécanique est aussi pauvre en rebondissements qu'en étude de caractères. D'où l'impression que ce film particulièrement bref (71 minutes, générique compris) est un court métrage étiré aux dimensions d'un long. Tel quel, l'ensemble – réalisé de manière assurée mais peu imaginative – laisse l'impression d'un exercice de style distendu et superficiel, qui, malgré quelques qualités (une atmosphère de malaise occasionnellement troublante, et un climat de tension parfois inquiétant) s'avère inégal et décevant. D'autant plus que les interprètes – adéquats mais sans plus – défendent de façon machinale des personnages stéréotypés, ce qui renforce l'impression d'un film aussi générique que prévisible.

Texte : Georges Privet

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