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Fear Street Part Two - 1978

É.-U. 2021. Drame d'horreur de Leigh Janiak avec Sadie Sink, Emily Rudd, Ryan Simpkins. En 1978, dans une petite ville de l'Ohio, les jeunes d'un camp d'été sont la proie d'un tueur en série, qui semble être devenu l'instrument d'une malédiction ancestrale. Second volet réussi d'une trilogie. Hommage aux films du type "Vendredi 13". Scénario détournant avec amusement les clichés du genre. Interprètes naviguant habilement entre pastiche et premier degré.

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Fear Street Part Two - 1978 (Fear Street Part Two - 1978)

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É.-U. 2021. Drame d'horreur de Leigh Janiak avec Sadie Sink, Emily Rudd, Ryan Simpkins.

En 1978, dans une petite ville de l'Ohio, les jeunes d'un camp d'été sont la proie d'un tueur en série, qui semble être devenu l'instrument d'une malédiction ancestrale. Second volet réussi d'une trilogie. Hommage aux films du type "Vendredi 13". Scénario détournant avec amusement les clichés du genre. Interprètes naviguant habilement entre pastiche et premier degré.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
D'après le livre de R.L. Stine
Pays :
Distributeur :
Netflix
En 1978 à Shadyside, petite ville de l'Ohio, plusieurs jeunes passent leurs vacances d'été au camp Nightwing. De nombreuses histoires d'amour et de haine se nouent entre les ados de la prestigieuse ville de Sunnyvale et les éternels laissés-pour-compte de Shadyside. Les hostilités au sein du camp sont cependant perturbées par l'irruption d'un tueur en série aussi mystérieux qu'insaisissable, qui a décidé de se faire l'instrument d'une malédiction vieille de plus de 200 ans.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le premier épisode de cette trilogie s'appuyait sur les films de la série SCREAM pour faire revivre les années 1990. Ce deuxième volet, qui se déroule à la fin des années 1970, trouve son inspiration du côté de FRIDAY THE 13TH et de ses émules (MY BLOODY VALENTINE, SLEEPAWAY CAMP, etc.). Toujours aux commandes, la réalisatrice Leigh Janiak reprend les ingrédients qui ont fait le succès du film précédent: commentaires ironiques et détournement des clichés du genre, bande sonore rassemblant les succès musicaux de l'époque. Elle a aussi eu la bonne idée de créer un maximum de correspondances et d'échos (parfois étonnamment subtils) entre les deux premiers films, allant jusqu’à repiquer certains cadrages ou à réutiliser certains acteurs dans des rôles différents. Du reste, l'interprétation navigue habilement entre le pastiche et le premier degré.

Texte : Georges Privet

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