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Cry Macho - Le chemin de la rédemption (Cry macho)

É.-U. 2021. Drame de Clint Eastwood avec Clint Eastwood, Dwight Yoakam, Fernanda Urrejola. Un vieillard, ex-star de rodéo dans la dèche, accepte d'aider son ancien patron en ramenant du Mexique le fils rebelle de ce dernier. Road movie lymphatique. Prémisse sympathique mais mince. Réalisation frôlant la nonchalance. Présence émouvante du charismatique C. Eastwood. (sortie en salle: 17 septembre 2021)

Général
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Cry Macho - Le chemin de la rédemption (Cry macho)

Général Général

É.-U. 2021. Drame de Clint Eastwood avec Clint Eastwood, Dwight Yoakam, Fernanda Urrejola.

Un vieillard, ex-star de rodéo dans la dèche, accepte d'aider son ancien patron en ramenant du Mexique le fils rebelle de ce dernier. Road movie lymphatique. Prémisse sympathique mais mince. Réalisation frôlant la nonchalance. Présence émouvante du charismatique C. Eastwood. (sortie en salle: 17 septembre 2021)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Nick Schenk
D'après le roman de N. Richard Nash
Photographie :
Musique :
Montage :
1979. Jadis grande star de rodéo, Mike Milo est maintenant un éleveur de chevaux en faillite. Usé par les épreuves de la vie, le vieillard accepte d'aider un de ses anciens patrons. Celui-ci lui demande de se rendre au Mexique puis d'en ramener son fils Rafael, un adolescent difficile qui vit avec sa mère alcoolique, et qui gagne sa vie en participant à des combats de coqs illégaux avec son ''champion'', surnommé Macho.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Sous ses faux airs de western crépusculaire, ce road movie lymphatique, à la prémisse sympathique mais mince, est plombé par des développements convenus et des enjeux limités. La réflexion sur le machisme et la transmission des valeurs s'avère superficielle. La relation prévisible entre les protagonistes, la présence du coq bagarreur qui se distingue à un moment-clé du film et le ton souvent puéril du récit confère à l'ensemble des airs de film pour enfants. La mise en scène – détendue au point de frôler la nonchalance – renforce l'impression d'un film réalisé sur le pilote automatique. Heureusement, la présence à l'image d'un Clint Eastwood vieillissant, au charisme intact, apporte quelques moments d'émotion bienvenus à cet opus résolument mineur.

Texte : Georges Privet

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