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Clerk.

É.-U. 2021. Documentaire de Malcolm Ingram . Le parcours atypique du réalisateur Kevin Smith, qui a fait sensation en 1994 avec son premier film, CLERKS, jalon du cinéma indépendant américain. Portrait élogieux et partial d'un créateur attachant. Anecdotes savoureuses. Alternance classique de témoignages et de documents d'archives. Montage alerte.

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Clerk. (Clerk.)

É.-U. 2021. Documentaire de Malcolm Ingram .

Le parcours atypique du réalisateur Kevin Smith, qui a fait sensation en 1994 avec son premier film, CLERKS, jalon du cinéma indépendant américain. Portrait élogieux et partial d'un créateur attachant. Anecdotes savoureuses. Alternance classique de témoignages et de documents d'archives. Montage alerte.

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LevelFILM
Après avoir fait sensation en 1994 avec son premier film, CLERKS, jalon du cinéma indépendant américain, Kevin Smith a poursuivi une carrière atypique, marquée par des hauts (CHASING AMY, JAY AND SILENT BOB STRIKE BACK, CLERKS II) et des bas (MALLRATS, DOGMA, JERSEY GIRL, YOGA HOSERS). En parallèle, ce grand amateur de BD et de hockey a développé un lucratif marché de produits dérivés inspirés de ses œuvres, très populaires surtout auprès de ses fidèles et nombreux supporteurs sur Internet. Lesquels ne manquent aucune des conférences de leur idole, qui a survécu à une sévère attaque cardiaque en 2019.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Vieil ami de Kevin Smith, Malcolm Ingram (TAIL LIGHTS FADE, SMALL TOWN GAY BAR) en brosse un portrait forcément élogieux et partial, mais truffé d'anecdotes savoureuses, souvent inédites, livrées avec candeur par son attachant sujet. En toute justice, Ingram fait une large place à Scott Mosier, producteur de la première heure et fidèle compagnon de route de Smith jusqu'en 2008, année de l'échec du pourtant épatant ZACK AND MIRI MAKE A PORNO. Le montage alerte dynamise une alternance classique de témoignages - toujours pertinents - et d'abondants documents d'archives. Le film se conclut sur une note plus sérieuse, détaillant les mois suivant l'hospitalisation de Smith pour une crise cardiaque, pendant lesquels il a subi une spectaculaire perte de poids et, du coup, perdu sa proverbiale silhouette de binoclard bedonnant.

Texte : Louis-Paul Rioux

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