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Penguin Bloom

Aust. 2020. Drame de Glendyn Ivin avec Naomi Watts, Andrew Lincoln, Jacki Weaver. Paralysée après un grave accident, une ancienne championne de surf retrouve goût à la vie au contact d'une pie blessée que ses enfants ont ramenée à la maison. Adaptation conventionnelle d'un roman à succès. Histoire vraie inspirante. Réalisation sans personnalité. N. Watts touchante.

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Penguin Bloom (Penguin Bloom)

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Aust. 2020. Drame de Glendyn Ivin avec Naomi Watts, Andrew Lincoln, Jacki Weaver.

Paralysée après un grave accident, une ancienne championne de surf retrouve goût à la vie au contact d'une pie blessée que ses enfants ont ramenée à la maison. Adaptation conventionnelle d'un roman à succès. Histoire vraie inspirante. Réalisation sans personnalité. N. Watts touchante.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Harry Cripps
Shaun Grant
D'après le livre de Cameron Bloom
D'après le livre de Bradley Trevor Greive
Photographie :
Musique :
Montage :
Le monde de Sam Bloom, ancienne championne de surf, bascule lorsqu'un grave accident, survenu durant un voyage en Thaïlande, la laisse paralysée et clouée dans un fauteuil roulant. Désormais, la mère de trois garçons turbulents doit dépendre de sa mère et de son mari, qui l'aident de leur mieux. Toutefois, Sam n'arrive pas à accepter sa condition et se laisse sombrer dans la dépression. Un jour, son fils aîné ramène à la maison une pie tombée du nid. D'abord réticente, Sam accepte de soigner l'oisillon blessé. Baptisé Penguin, celui-ci ne tarde pas à devenir un membre à part entière de la famille Bloom. Au contact de l'animal, la mère handicapée se réconcilie progressivement avec sa nouvelle vie.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Adapté du roman éponyme de Cameron Bloom paru en 2016, ce rappel inspirant et sensible de la vie de l'athlète handisport Sam Bloom est beaucoup trop prévisible. Il faut dire que la métaphore de reconstruction individuelle et familiale a déjà été maintes fois employée au cinéma (THE BLIND SIDE, CHASING MAVERICKS). En outre, l'enjeu de la culpabilité, exprimé par le biais de l'enfant narrateur, s'avère plaqué et trop vite résolu. À tout le moins, quelques passages impliquant l'oiseau (apparemment réalisés sans trucages) apportent au film un surcroît de fantaisie et d'émerveillement. La mise en scène de l'Australien Glendyn Ivin (l'inédit LAST RIDE) ne brille pas par son originalité, mais elle met en valeur la joliesse de la direction photo et la composition touchante et nuancée de Naomi Watts (LUCE, BIRDMAN). Le reste de la distribution est très en retrait.

Texte : Charles-Henri Ramond

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