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Groenland (Greenland)

É.-U. 2020. Film catastrophe de Ric Roman Waugh avec Gerard Butler, Morena Baccarin, Scott Glenn. Alors que les fragments d'une comète s'apprêtent à frapper la Terre, les membres d'une famille en crise tentent désespérément d'atteindre un abri d'urgence gouvernemental. Film de genre supérieur à la moyenne. Scénario relativement crédible et humain. Réalisation immersive. G. Butler en mode surchauffe.

13 ans + (violence)
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Groenland (Greenland)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 2020. Film catastrophe de Ric Roman Waugh avec Gerard Butler, Morena Baccarin, Scott Glenn.

Alors que les fragments d'une comète s'apprêtent à frapper la Terre, les membres d'une famille en crise tentent désespérément d'atteindre un abri d'urgence gouvernemental. Film de genre supérieur à la moyenne. Scénario relativement crédible et humain. Réalisation immersive. G. Butler en mode surchauffe.

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Entract Films
Récemment séparé de son épouse Allison, John Garrity rentre à la maison familiale pour célébrer l'anniversaire de leur fils Nathan. Les festivités sont toutefois interrompues par un bulletin de nouvelles, annonçant que les fragments d'une gigantesque comète s'apprêtent à frapper la Terre. Sur les entrefaites, John est averti sur son cellulaire que le gouvernement l'a choisi - en raison de ses compétences en génie civil - pour faire partie d'un groupe de quelques milliers de survivants, invités à se rendre d'ici 36 heures dans un abri d'urgence secret du gouvernement. Pour la petite famille en crise, c'est le début d'une dangereuse course contre la montre.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce film de genre aux contours désespérément familiers se distingue par son scénario relativement crédible et humain, et la mise en scène immersive de Ric Roman Waugh (ANGEL HAS FALLEN). Moins excessif et grotesque qu'ARMAGEDDON, plus inquiétant et efficace que DEEP IMPACT, rythmé sur le mode haletant de WORLD WAR Z, l'exercice bénéficie ironiquement des contraintes d'un budget relativement serré, qui le force à se concentrer sur les personnages plutôt que sur la pyrotechnie. Le résultat est un film intense (parfois trop, coeurs sensibles s'abstenir), au rythme soutenu (malgré une petite longueur dans le dernier droit), rempli d'échos à la présente crise sanitaire (avec ses ruées sur le papier de toilette), et propulsé par l'énergie maniaque d'un Gerard Butler en mode surchauffe.

Texte : Georges Privet

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