Autoportrait d'une mère de famille de 38 ans de l'Abitibi, aux prises avec un cancer du sein. Journal intime audiovisuel, à vocation thérapeutique. Traitement de style reportage. Technique approximative. Témoignage touchant de la réalisatrice.
Filmé au "je" par Rachelle Roy, DANSER SOUS LA PLUIE s'apparente plus à un long journal intime audiovisuel à vocation thérapeutique qu'à un véritable documentaire. De style reportage, la réalisation est approximative, due à l'inexpérience de la cinéaste en herbe et au parti pris technique. Si le témoignage s'avère touchant, l'intérêt pour autrui demeure faible. (Texte rédigé en novembre 2020, dans le cadre du Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue)
Texte : Olivier Lefébure