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J'ai perdu mon corps

Fr. 2019. Film d'animation de Jérémy Clapin . Une main coupée s'échappe d'une salle de dissection et fait diverses rencontres dans Paris, pendant qu'un jeune livreur de pizza maghrébin un peu maladroit s'éprend d'une cliente. Récit simple, mais juste et émouvant, adapté d'un livre de Guillaume Laurant. Savant mélange de cinéma de genre, de romance et de drame social. Mise en scène poétique et créative.

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J'ai perdu mon corps (J'ai perdu mon corps)

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Fr. 2019. Film d'animation de Jérémy Clapin .

Une main coupée s'échappe d'une salle de dissection et fait diverses rencontres dans Paris, pendant qu'un jeune livreur de pizza maghrébin un peu maladroit s'éprend d'une cliente. Récit simple, mais juste et émouvant, adapté d'un livre de Guillaume Laurant. Savant mélange de cinéma de genre, de romance et de drame social. Mise en scène poétique et créative.

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n/d
Deux histoires se déroulent en parallèle. D'un côté, celle d'une main coupée, qui s'échappe d'une salle de dissection pour arpenter les toits, les rues et le métro de Paris, en faisant diverses rencontres. De l'autre, celle de Naoufel, jeune livreur de pizza maghrébin un peu maladroit, qui s'éprend d'une cliente par l'intermédiaire d'un interphone.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le premier long métrage de Jérémy Clapin mérite pleinement les éloges reçus au festival de Cannes, où il a remporté le Grand Prix de la Semaine de la critique. Adapté du livre "Happy Hand" de Guillaume Laurant, ce magnifique film d'animation transcende un récit simple, aux enjeux modestes, par l'inventivité de sa mise en scène et sa grande sensibilité. Le parcours de Naoufel donne l'occasion au cinéaste d'aborder la condition sociale, l'expérience migratoire et le sentiment amoureux avec délicatesse, tandis que celui de la main lui permet d'explorer Paris loin des cartes postales, au ras du sol, avec beaucoup de créativité. Entre les deux, les séquences illustrant les souvenirs d'enfance des deux "protagonistes" débordent de poésie et de justesse sur le plan sensoriel. (Texte rédigé en octobre 2019, dans le cadre du Festival du nouveau cinéma de Montréal)

Texte : Apolline Caron-Ottavi

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