La structure de ce film, qui met en image le récit de Romulus et Rémus, fondateurs légendaires de Rome, rappelle celle de Sergio Corbucci (ROMOLO E REMO). L'usage du proto-latin et les décors forestiers contribuent à la création d’une atmosphère archaïque, mais n'arrivent pas à dissimuler la linéarité du scénario et empêchent des dialogues plus riches et nombreux. La réalisation convenue ne semble se manifester que lors des scènes d’actions brutales, calquant celles qui ont fait le succès de néo-péplums comme 300 et tombe à plat lors des moments forts de l'histoire. Les acteurs, sélectionnés plus pour leur physique semble-t-il, donnent de leur mieux, livrant des performances convaincues et supportables.
Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!
Par : Félix Charron-Ducharme, Québec
La structure de ce film, qui met en image le récit de Romulus et Rémus, fondateurs légendaires de Rome, rappelle celle de Sergio Corbucci (ROMOLO E REMO). L'usage du proto-latin et les décors forestiers contribuent à la création d’une atmosphère archaïque, mais n'arrivent pas à dissimuler la linéarité du scénario et empêchent des dialogues plus riches et nombreux. La réalisation convenue ne semble se manifester que lors des scènes d’actions brutales, calquant celles qui ont fait le succès de néo-péplums comme 300 et tombe à plat lors des moments forts de l'histoire. Les acteurs, sélectionnés plus pour leur physique semble-t-il, donnent de leur mieux, livrant des performances convaincues et supportables.
J'attribue à ce film la Cote