Ziva Postec - La monteuse derrière le film Shoah

Can. 2018. Documentaire de Catherine Hébert . Portrait de la monteuse israélienne Ziva Postec, qui a mis six ans à analyser et assembler les 350 heures de pellicule tournées par Claude Lanzmann pour son documentaire "Shoah". Délicate évocation de la vie et l'oeuvre d'une artiste de l'ombre. Hommage senti au métier de monteur. Témoignages éclairants. Survol de certains sujets. Ensemble bien fait, mais de facture classique. (sortie en salle: 15 mars 2019)

Ziva Postec - La monteuse derrière le film Shoah (Ziva Postec - La monteuse derrière le film Shoah)

Général

Can. 2018. Documentaire de Catherine Hébert .

Portrait de la monteuse israélienne Ziva Postec, qui a mis six ans à analyser et assembler les 350 heures de pellicule tournées par Claude Lanzmann pour son documentaire "Shoah". Délicate évocation de la vie et l'oeuvre d'une artiste de l'ombre. Hommage senti au métier de monteur. Témoignages éclairants. Survol de certains sujets. Ensemble bien fait, mais de facture classique. (sortie en salle: 15 mars 2019)

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Genre :

Documentaire

Année :

2018

Durée :

92 min.

Réalisation :

Catherine Hébert

Scénario :

Catherine Hébert

Photographie :

Elric Robichon
Nathalie Moliavko-Visotzky
Vuk Stojanovic

Musique :

Ramachandra Borcar

Montage :

Annie Jean

Pays :

Canada
Québec

Distributeur :

Les Films du 3 Mars

Producteurs :

Christine Falco

Au début des années 1960, la monteuse Ziva Postec quitte Israël pour aller vivre à Paris. En 1979, elle s'attelle à une tâche colossale: analyser et assembler les 350 heures de pellicule tournées par Claude Lanzmann pour son documentaire "Shoah".

L’AVIS DE MEDIAFILM

Avec cette évocation de la vie et l'oeuvre d'une artiste de l'ombre, Catherine Hébert (CARNETS D'UN GRAND DÉTOUR) dévoile un pan inédit de la création d'un film majeur, tout en livrant un hommage senti au métier de monteur. Les témoignages éclairants et les images d'archive donnent une valeur instructive indéniable à cet ensemble bien fait, mais de facture très classique.

Texte : Charles-Henri Ramond

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