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Ravages (Rampage)

É.-U. 2018. Science-fiction de Brad Peyton avec Dwayne Johnson, Jeffrey Dean Morgan, Malin Akerman. Un primatologue et une généticienne font équipe pour empêcher des animaux transformés en prédateurs géants de tout détruire. Adaptation tapageuse et simpliste d'un jeu vidéo. Quelques passages spectaculaires. Distribution médiocre. D. Johnson sympathique malgré tout. (sortie en salle: 13 avril 2018)

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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Ravages (Rampage)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 2018. Science-fiction de Brad Peyton avec Dwayne Johnson, Jeffrey Dean Morgan, Malin Akerman.

Un primatologue et une généticienne font équipe pour empêcher des animaux transformés en prédateurs géants de tout détruire. Adaptation tapageuse et simpliste d'un jeu vidéo. Quelques passages spectaculaires. Distribution médiocre. D. Johnson sympathique malgré tout. (sortie en salle: 13 avril 2018)

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Une expérience en laboratoire sur différentes espèces animales vire à la catastrophe, donnant naissance à une invasion de prédateurs géants et terrifiants. Parmi ces monstres génétiquement modifiés se trouve George, un gorille albinos à qui le primatologue David Okoye a enseigné le langage des signes. Accompagné de la généticienne Kate Caldwell, qui prétend pouvoir trouver un antidote, Okoye s'élance à la recherche du gorille. L'épreuve se corse quand Claire Wyden et son frère Brett, directeurs du laboratoire, déclenchent un signal qui attire à Chicago George, un loup volant et un crocodile gigantesque. Okoye et Caldwell devront livrer une course contre la montre afin d'empêcher les trois monstres de tout détruire sur leur passage.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après le désastreux SAN ANDREAS, le tâcheron Brad Peyton et le comédien Dwayne Johnson récidivent avec cette adaptation tapageuse d'un jeu vidéo, qui revisite sans imagination les films de kaiju. Alternant entre le charabia pseudo-scientifique et les scènes de carnage en pleine nature, ce jeu du chat et de la souris linéaire et peu palpitant manque de carburant. En fin de partie cependant, Peyton prend un évident plaisir à détruire des édifices emblématiques de Chicago, à grands coups d'effets spéciaux et d'amples et vertigineux mouvements de caméra, avec un résultat indéniablement spectaculaire. Les interprètes rivalisent de médiocrité, mais le toujours sympathique Dwayne Johnson et le primate de synthèse forment un surprenant tandem, qui s'élève sans effort au-dessus de la mêlée.

Texte : Manon Dumais

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