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Outlaw King

G.-B. 2018. Drame historique de David Mackenzie avec Chris Pine, Stephen Dillane, Florence Pugh. En 1304, à la mort de William Wallace, le noble Robert Bruce lève une armée afin de reprendre la lutte pour l'indépendance écossaise. Fresque inégale, plus convaincante dans l'épique que l'intime. Réalisation à la fois spectaculaire et quasi documentaire. Rythme syncopé. Acteurs solides, bien dirigés.

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Outlaw King (Outlaw King)

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G.-B. 2018. Drame historique de David Mackenzie avec Chris Pine, Stephen Dillane, Florence Pugh.

En 1304, à la mort de William Wallace, le noble Robert Bruce lève une armée afin de reprendre la lutte pour l'indépendance écossaise. Fresque inégale, plus convaincante dans l'épique que l'intime. Réalisation à la fois spectaculaire et quasi documentaire. Rythme syncopé. Acteurs solides, bien dirigés.

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1304. William Wallace est stoppé dans sa tentative de libérer le royaume d'Écosse. Toute la noblesse à sa suite doit se soumettre à l'envahisseur anglais. Mais après l'exécution de Wallace, l'un de ces nobles, Robert Bruce, se ravise et décide de reprendre le flambeau de la lutte pour l'indépendance. Après s'être emparé de la couronne écossaise, il lève une armée composée de soldats hétéroclites.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette fresque imposante, qui s'inscrit dans la continuité de BRAVEHEART, s'avère moins convaincante que le drame oscarisé de Mel Gibson. La faute à un scénario inégal, plus convaincant dans l'épique que l'intime. Cette oeuvre spectaculaire, produite par Netflix, ne manque pourtant pas de qualités. Ainsi, la mise en scène vigoureuse et quasi documentaire de David Mackenzie (HELL OR HIGH WATER) confère à cette page d'histoire l'urgence d'un reportage contemporain. Par contre, un remontage maladroit - OUTLAW KING a été amputé d'une vingtaine de minutes après sa première décevante au festival de Toronto - crée des ellipses voyantes dans la continuité du récit. D'où un rythme syncopé, qui mine non seulement le film, mais aussi les efforts d'acteurs solides, au demeurant bien dirigés. Le résultat final incarne, de manière assez fascinante, la difficulté de produire des films épiques à l'ancienne, à une époque où la télévision assume à elle seule le fardeau de leur diffusion.

Texte : Georges Privet

COMMENTAIRES

03 février 2019, 00:23:25

Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières

Film de chevalerie étonnamment sobre et utilisant le plus possible de vrais décors. Après quelques longueurs, le récit se reprend avec une bataille finale anthologique!

J'attribue à ce film la Cote 3


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