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Incoming: Danger spatial (Incoming)

É.-U. 2018. Science-fiction de Eric Zaragoza avec Scott Adkins, Aaron McCusker, Michelle Lehane. Détenus dans une prison secrète en orbite autour de la Terre, six terroristes s'échappent de leurs cellules et prennent le contrôle de la station spatiale. Récit convenu riche en invraisemblances mais chiche en scènes d'action spectaculaires. Direction artistique très pauvre. Réalisation sans imagination. Interprétation quelconque.

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Incoming: Danger spatial (Incoming)

É.-U. 2018. Science-fiction de Eric Zaragoza avec Scott Adkins, Aaron McCusker, Michelle Lehane.

Détenus dans une prison secrète en orbite autour de la Terre, six terroristes s'échappent de leurs cellules et prennent le contrôle de la station spatiale. Récit convenu riche en invraisemblances mais chiche en scènes d'action spectaculaires. Direction artistique très pauvre. Réalisation sans imagination. Interprétation quelconque.

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Détenus dans une prison secrète en orbite autour de la Terre, six terroristes, membres de "la Meute de loups", sont soumis à diverses tortures afin qu'ils révèlent l'identité de leur chef, surnommé l'Alpha. Profitant d'une visite médicale et de la présence de la médecin Stone qui s'inquiète de leurs conditions de détention, Argun, le leader du groupe, s'échappe de sa cellule, libère ses comparses et prend le contrôle de la station spatiale. Mais l'agent de CIA Reiser qui accompagnait la docteure organise la résistance et la contre-attaque.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette petite série B d'anticipation n'a pas grand-chose pour elle. Convenu, le récit ne renouvelle en rien le sous-genre du drame carcéral (on y torture toujours, même dans l'espace), tout en se révélant riche en invraisemblances (l'évasion des cellules en est un bel exemple). Inversement, l'intrigue s'avère chiche en scènes d'action spectaculaires. Or, compte tenu de la présence de Scott Adkins, le spectateur était en droit d'espérer quelques bonnes bagarres, qui se feront attendre et décevront les amateurs. Pour ne rien arranger, la direction artistique est d'une très grande pauvreté et l'agencement médiocre du décor donne l'impression que les cellules sont à côté du poste de contrôle... La réalisation d'Eric Zaragoza est sans imagination, tandis que l'interprétation d'ensemble s'avère quelconque.

Texte : Olivier Lefébure

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