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Funan

Fr. 2018. Film d'animation de Denis Do . Au Cambodge, durant les années 1970, le combat d'un jeune couple pour survivre au terrible régime des Khmers Rouges et retrouver leur petit garçon, dont ils sont sans nouvelles. Récit humaniste et poignant sur les horreurs de la dictature communiste de Pol Pot. Délicat mélange de violence suggérée et de poésie. Animation simple aux belles couleurs chatoyantes.

13 ans +
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Funan (Funan)

13 ans + 13 ans +

Fr. 2018. Film d'animation de Denis Do .

Au Cambodge, durant les années 1970, le combat d'un jeune couple pour survivre au terrible régime des Khmers Rouges et retrouver leur petit garçon, dont ils sont sans nouvelles. Récit humaniste et poignant sur les horreurs de la dictature communiste de Pol Pot. Délicat mélange de violence suggérée et de poésie. Animation simple aux belles couleurs chatoyantes.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Musique :
Montage :
Distributeur :
Musique Select inc.
Récompenses
17 avril 1975. Phnom Penh, la capitale du Cambodge, est prise par les Khmers rouges qui décident de vider la ville de ses habitants. Sous la menace des armes, Chou, son mari Khuon, leur petit garçon de 3 ans et plusieurs autres membres de leur famille prennent la route de l'exil forcé, vers un ailleurs inconnu. En chemin, le couple est séparé de leur fils, qui se retrouve seul avec sa grand-mère Nay. Ballotés de camp en camp, condamnés aux travaux forcés et à la maltraitance des soldats, Chou et Khuon tentent de survivre au terrible régime communiste instauré par Pol Pot, tout en gardant espoir de retrouver leur petit garçon.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Comme PERSÉPOLIS de Marjane Satrapi et Vincent Paronnaud (l'Iran) ou JOSEP de Aurel (l'Espagne), FUNAN s'intéresse au destin tragique d'un pays et de son peuple, ici le Cambodge, via les épreuves vécues par une famille. Humaniste et poignant, le film de Denis Do raconte avec intelligence les horreurs et la folie de la dictature communiste de Pol Pot. De fait, FUNAN offre un délicat mélange de violence suggérée et de poésie, les atrocités et les meurtres se déroulant, sauf pour une scène, hors champ. D'où un travail soigné au niveau de la bande sonore. Un peu dans le style de KIRIKOU de Michel Ocelot, l'animation, simple et aux belles couleurs chatoyantes, contraste par sa douceur avec la gravité du propos. Même si Bérénice Béjo et Louis Garrel offrent de belles prestations vocales, l'absence de sonorités asiatiques au niveau des voix est cependant un peu regrettable.

Texte : Olivier Lefébure

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