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Par amour des chiens (Dog Days)

É.-U. 2018. Comédie sentimentale de Ken Marino avec Nina Dobrev, Vanessa Hudgens, Adam Pally. Durant un été chaud à Los Angeles, des chiens provoquent des amours et des amitiés inattendues entre leurs maîtres respectifs. Film choral paresseux et insignifiant. Gags et situations dramatiques usés. Traitement manipulateur. Réalisation fonctionnelle. Interprétation compétente, mais peu mémorable. (sortie en salle: 10 août 2018)

Général
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Par amour des chiens (Dog Days)

Général Général

É.-U. 2018. Comédie sentimentale de Ken Marino avec Nina Dobrev, Vanessa Hudgens, Adam Pally.

Durant un été chaud à Los Angeles, des chiens provoquent des amours et des amitiés inattendues entre leurs maîtres respectifs. Film choral paresseux et insignifiant. Gags et situations dramatiques usés. Traitement manipulateur. Réalisation fonctionnelle. Interprétation compétente, mais peu mémorable. (sortie en salle: 10 août 2018)

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Durant un été chaud à Los Angeles, des chiens de races diverses provoquent des amours et des amitiés inattendues entre leurs maîtres respectifs. Déprimée par le départ de son conjoint infidèle, une présentatrice de télé voit son chien reprendre du mieux au contact de la petite chienne de son nouveau coanimateur. Une serveuse devient bénévole dans un refuge canin, fondé par un garçon maladroit qui l'aime secrètement. Sur le point d'accoucher de jumeaux, une femme confie son chien encombrant à son frère irresponsable, qui tente de percer dans la musique rock. Au grand soulagement de ses nouveaux parents adoptifs, une fillette retrouve goût à la vie au contact d'un chien trouvé dans un parc. Lequel est activement recherché par son propriétaire, un vieillard veuf.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Difficile de trouver plus paresseux et insignifiant que ce film choral bas de gamme, qui célèbre sans une once d'imagination le pouvoir rassembleur des chiens et leur rôle indéniable dans la vie affective de leurs maîtres. Les gags et situations dramatiques usés, le traitement manipulateur et sirupeux, l'humour vulgaire et ringard, sont à peine rachetés par la réalisation fonctionnelle de Ken Marino (HOW TO BE A LATIN LOVER, inédit en salles) et l'interprétation compétente, mais peu mémorable, de semi-vedettes de Hollywood. Du reste, à quelques occasions, les décors de Los Angeles en arrière-plan sentent la rétroprojection à plein nez, ajoutant au caractère factice de l'entreprise.

Texte : Louis-Paul Rioux

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