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Deadpool 2

É.-U. 2018. Drame fantastique de David Leitch avec Ryan Reynolds, Josh Brolin, Morena Baccarin. Un antihéros masqué, doté d'une force extraordinaire, forme une équipe de mutants ayant pour mission de protéger un jeune prodige, menacé d'être éliminé par un soldat venu du futur. Mégapastiche du genre. Mitraille de gags vulgaires. Réalisation hyperactive montrant des signes d'essoufflement. Scène post-générique mémorable. Interprètes survoltés. (sortie en salle: 18 mai 2018)

13 ans + (violence, langage vulgaire)
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Deadpool 2 (Deadpool 2)

13 ans + (violence, langage vulgaire) 13 ans + (violence, langage vulgaire)

É.-U. 2018. Drame fantastique de David Leitch avec Ryan Reynolds, Josh Brolin, Morena Baccarin.

Un antihéros masqué, doté d'une force extraordinaire, forme une équipe de mutants ayant pour mission de protéger un jeune prodige, menacé d'être éliminé par un soldat venu du futur. Mégapastiche du genre. Mitraille de gags vulgaires. Réalisation hyperactive montrant des signes d'essoufflement. Scène post-générique mémorable. Interprètes survoltés. (sortie en salle: 18 mai 2018)

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Deux ans après sa première aventure, l'irrévérencieux Deadpool file encore le parfait bonheur avec Vanessa et songe même à avoir des enfants. Mais les circonstances l'amènent plutôt à former une équipe de mutants déjantés, surnommée la X-Force, afin de protéger Russell, un jeune prodige aux pouvoirs étonnants, des attaques répétées de Cable, un redoutable soldat venu du futur pour l'éliminer.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il n'est pas évident de se moquer d'un genre qui frôle déjà la parodie. C'est pourtant le but que s'étaient fixé les auteurs de DEADPOOL, et que relèvent à nouveau ceux de cette suite assez réussie. Pour y parvenir, ils ont toutefois dû doubler les portions. Ainsi, le scénario surchargé balance à la mitraille des gags d'une rare grossièreté. Malgré une mise en scène hyperactive, des répliques corrosives et des interprètes survoltés, l'ensemble montre des signes d'essoufflement, largement attribuables à un rythme impossible à soutenir et à un antihéros dont la vulgarité finit par lasser. Une scène post-générique particulièrement relevée (une des meilleures du genre) vient toutefois racheter le film in extremis, tout en rappelant la fragilité de ce genre d'entreprise boursouflée.

Texte : Georges Privet

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