É.-U. 2017. Science-fiction de Michael Bay avec Mark Wahlberg, Laura Haddock, Anthony Hopkins. Pour reconstruire sa planète, un robot polymorphe doit retrouver un artefact dissimulé dans le tombeau de Merlin l'enchanteur. Cinquième épisode d'une sottise abyssale. Esthétique hideuse. Réalisation tapageuse et brouillonne. Interprétation médiocre. (sortie en salle: 21 juin 2017)
Pour reconstruire sa planète, un robot polymorphe doit retrouver un artefact dissimulé dans le tombeau de Merlin l'enchanteur. Cinquième épisode d'une sottise abyssale. Esthétique hideuse. Réalisation tapageuse et brouillonne. Interprétation médiocre. (sortie en salle: 21 juin 2017)
Le scénario d'une stupidité abyssale nous enseigne que les Transformers ont pris part aux guerres arthuriennes et à la Seconde Guerre mondiale. Ah bon? Le marketing nous apprend aussi que ce cinquième volet de la série inspirée des jouets Hasbro serait le dernier réalisé par Michael Bay. Eh bien! En guise d'adieu, celui-ci signe une réalisation tapageuse et brouillonne, farcie de scènes de combat répétitives et interminables. Mal montées et rythmées, ces séquences se résument en laborieux concerts de bruits de tôle froissée et d'explosions. D'une esthétique hideuse, ce pitoyable fourre-tout, plus près du jeu vidéo que de l'oeuvre cinématographique, emprunte sans vergogne à la science-fiction, au récit d'aventures et aux films catastrophes. Autour d'Anthony Hopkins, qui cabotine avec allégresse, Mark Wahlberg, Isabella Moner et Laura Haddock, pâle copie de Megan Fox, rivalisent de médiocrité.
Texte : Manon Dumais